Poésie Le Rêve De La Lune Notes

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L'autre rêve de la Lune Si la lune brille quand tu dors c'est pour mieux veiller sur tes boucles d'or Si la lune se tait quand tu songes c'est pour mieux écouter tes rêves colorés Si la lune rêve quand tu rêves c'est pour que nous rêvions encore plus fort que nous rêvions main dans la main, bouche contre bouche, rêve dans rêve, pour que demain soit comme aujourd'hui: le vert Paradis de nos rêves celui qui fait rimer « Je t'aime » avec « Je t'aime aussi ».

Poésie Le Rêve De La Lune

Le rêve de la lune Si la lune brille Quand tu dors, C'est pour planter Des milliers de soleils pour demain. Si tout devient silence C'est pour préparer Le chant des milliers d'oiseaux Et dorer les ailes des libellules. Si la lune tombe dans tes bras C'est pour rêver avec toi Des milliers d'étoiles. (Marie Botturi)

Poésie Rêve De La Lune

Trés bon soir C'est le bon rhum qui arrangera les choses Amitié..! Excellent..!. Oui, oui!! vite un coup de soleil, en ce temps gris... c'est du bonheur plein la tête..!

Poésie Le Rêve De La Lune Danielle Le Bricquir

Le plaisir d'ouvrir un recueil « sélénique » et de partager, avec les promeneurs de la toile, les lunatiques, insomniaques, les rêveurs... des mots de lune aux belles nacres d'inspiration! Poésie rêve de la lune. Tristesses de la lune, Charles BAUDELAIRE (1821-1867) « Ce soir, la lune rêve avec plus de paresse; Ainsi qu'une beauté, sur de nombreux coussins, Qui d'une main distraite et légère caresse Avant de s'endormir le contour de ses seins, Sur le dos satiné des molles avalanches, Mourante, elle se livre aux longues pâmoisons, Et promène ses yeux sur les visions blanches Qui montent dans l'azur comme des floraisons. Quand parfois sur ce globe, en sa langueur oisive, Elle laisse filer une larme furtive, Un poète pieux, ennemi du sommeil, Dans le creux de sa main prend cette larme pâle, Aux reflets irisés comme un fragment d'opale, Et la met dans son cœur loin des yeux du soleil. » Clair de Lune, Guillaume APOLLINAIRE (1880-1918), Recueil Alcools... Lune mellifluente aux lèvres des déments Les vergers et les bourgs cette nuit sont gourmands Les astres assez bien figurent les abeilles De ce miel lumineux qui dégoutte des treilles Car voici que tout doux et leur tombant du ciel Chaque rayon de lune est un rayon de miel Or caché je conçois la très douce aventure J'ai peur du dard de feu de cette abeille arcture Qui posa dans mes mains des rayons décevants Et pris son miel lunaire à la rose des vents.

Baigné du rêve de mes profondes nuits La lune est piquée au bout d'un bâton Les pêcheurs rapiécés du bleu du désir L'or servira à faire des moutons Les peupliers en rang avec leurs oiseaux verts La guitare rouge aux notes syncopées Se livrent dans l'amour des palmes de l'été Des bruits de marteaux montent des docks ouverts Jusqu'à ce que les écailles du soir S'émiettent dans la nuit des histoires Jusqu'à ce que tes lèvres dans le crépuscule Tombent dans le lac des baisers de plume Ainsi j'avais longtemps tourné mon cerveau Sur les cinq vérités de la poésie française

J'aime beaucoup l'atmosphère installée, de même que l'intention de faire parler ce moment de grâce par cette " Rivière de lune " (un bien joli titre). Sur l'expression, je suis un peu freiné par quelques, je ne dirais pas maladresses, car le geste est très délicat, ni abstractions, car le champ métaphorique est à la fois signifiant et plutôt "cadré", non ce sont plutôt par de modestes "inopérations". Poésie le rêve de la lune. Les voici: - Alors que la première strophe s'offrait à moi, son dernier vers me ramenait sur " terre " avec son " cercle parfait " si géométrique, si peu organique, et même à peine cosmique. - L'inversion de " flocons " et de " gouttes " se rapportant respectivement à " pluie " et " neige " est un peu trop basique, et si proche d'un vers à l'autre, qu'elle a un côté téléphoné. - Dans la dernière strophe, j'ai tiqué sur les " rêves humides ". Ou bien on le reçoit comme à la limite du "grivois", un peu trop connoté, et ça casse l'ambiance doucereuse si rêveuse, ou bien on arrive à le fondre dans le " lit dressé ", mais alors pourquoi ce " dresser "?