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L'annonce de leur condamnation mardi a suscité la consternation dans les rangs de l'ONG Iran Human Rights (IHR), qui a son siège en Norvège. « Cette condamnation injuste est le résultat d'un processus extrajudiciaire conçu par les agences de sécurité, destiné à réprimer et à susciter la peur chez les étudiants », a déclaré Mahmood Amiry-Moghaddam, le directeur de l'ONG. « Elle manque totalement de crédibilité ». « Les universités devraient être des centres de liberté de pensée et d'expression. Iran : deux étudiants condamnés à 16 ans de prison notamment pour sabotage. Pourtant, en Iran, d'innombrables étudiants ont été expulsés ou emprisonnés pour avoir exercé ces droits », a de son côté réagi Hadi Ghaemi, le directeur exécutif du Centre pour les droits humains en Iran. À lire aussi Israël craint un «mauvais accord» nucléaire avec l'Iran « Le pouvoir judiciaire iranien doit libérer Amir-Hossein Moradi et Ali Younesi et cesser de criminaliser la liberté d'expression et de pensée », a-t-il ajouté. Le réseau international Scholars at Risk a quant à lui exprimé sa « profonde préoccupation » pour la peine infligée.

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Détentions politiques Une autre figure du Hirak, Chems Eddine Laalami, dit Brahim, détenu depuis juillet 2021, a également été remis en liberté, selon la même source. 16 rue de la liberte nice wine. Ce tailleur, âgé de 30 ans, avait manifesté en février 2019 à Bordj Bou Arreridj (Nord-Est) pour dénoncer la candidature à un cinquième mandat présidentiel du défunt président Abdelaziz Bouteflika. Un soulèvement populaire pacifique, connu sous le nom de Hirak, avait éclaté peu après dans les grandes villes algériennes, forçant Bouteflika à démissionner deux mois plus tard. « Il s'agissait de détentions politiques qui n'avaient rien à voir avec le droit, et ces libérations provisoires le sont aussi », a déclaré à l'AFP l'avocate et militante des droits Nassima Rezazgui. À lire aussi Algérie: le Hirak a dû quitter la rue, sans avoir défini son avenir politique Avant ces libérations, près de 300 personnes étaient emprisonnées en Algérie en lien avec le Hirak, mouvement à l'arrêt depuis la mi-mai 2021, ou pour des revendications concernant les libertés individuelles, selon le CNLD.