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Car c'est une fresque de 18 mètres de long sur 1, 50 m de haut qui a pu être réalisée en moins d'une semaine, grâce à l'énergie des enfants et à une météo très clémente. À noter que les artistes n'en sont pas à leur coup d'essai puisqu'ils ont déjà réalisé un dessin à la maison de la pêche et des milieux aquatiques, sur le port de Ribérou. Parmi les acteurs de cette action artistique et pédagogique, il est à noter l'implication des agents du centre opérationnel technique et environnemental de la commune, de l'équipe enseignante de l'école autour de leur directrice Emmanuelle Tantin. La parole aux enfants Le dimanche 1 er mai, Alain Duffau et Thierry Bouchacourt ont dessiné toute la soirée, pour offrir un beau point de départ aux enfants et faciliter le chantier de peinture. Mur des mots sur. Et le vendredi 6 mai, c'était déjà l'heure du vernissage avec les familles et parents de cette fresque unique mettant en exergue la Seudre. Thierry Bouchacourt, également pêcheur, a terminé la libellule et la petite écluse, et n'a pas manqué de féliciter tous les petits artistes.
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Vendredi 20 mai 2022 10:30... 1 Gamlet Zinkivsky devant « Hospitalité d'enfer », l'une de ces œuvres qu'il peint sur le bois qui recouvre les fenêtres. © Dimitar Dilkoff, AFP Gilet pare-balles, tourniquet pour faire des garrots et deux stylos-feutres: c'est « l'équipement de travail » de cet artiste ukrainien réputé, dans sa ville natale. Des cocktails Molotov, un jerrican d'essence, et ces mots: « Hospitalité d'enfer ». Cette œuvre dessinée sur un mur du centre-ville dévasté de Kharkiv est signée Gamlet Zinkivsky. Trente-cinq ans, boule à zéro, yeux clairs, quatre bagues argentées à la main gauche, Gamlet était à Kharkiv, sa ville natale, au début de l'attaque russe. [Analyse] Ce «mur d’opacité» derrière lequel ne se cachent pas seulement des oligarques russes | Le Devoir. Il a passé une nuit à l'abri dans le métro puis une dizaine de jours dans la maison de ses parents, plus sûre, avant de se réfugier avec une partie de sa famille dans l'ouest ukrainien, moins touché par la guerre. « La ville est ma galerie » Il y est resté deux mois, organisant du financement participatif pour soutenir l'armée et l'aide humanitaire.
Dimanche 22 mai 2022 16:49... 1 Miss Tic, dans son studio, à Paris, en 2006. © BERTRAND GUAY / ARCHIVES AFP Radhia Novat, plus connue sous le pseudonyme de Miss. Tic, est décédée ce dimanche 22 mai 2022, à l'âge de 66 ans. Elle était l'une des grandes figures du street art français. Street art. Gamlet peint les murs de Kharkiv dévastée - Angers.maville.com. Miss. Tic, figure parisienne du street art connue pour ses silhouettes de femmes brunes, sexy et poétiques graffées au pochoir sur les murs de la capitale notamment, est décédée dimanche de maladie à l'âge de 66 ans. Née d'un père immigré tunisien et d'une mère normande, Radhia Novat, de son vrai nom, commence à imprimer son art en 1985 dans les rues de la Butte Montmartre (où elle a grandi), du Marais, de Montorgueil et de la Butte-aux-Cailles, après un séjour aux États-Unis. Des poèmes au street art « Je venais du théâtre de rue, j'aimais cette idée de l'art dans la rue », expliquait en 2011 la plasticienne. « Je me suis dit d'abord: Je vais écrire des poèmes. Puis: Il faut des images avec les poèmes. J'ai commencé par des autoportraits, puis j'ai continué vers les autres femmes », ajoutait celle qui accompagnait ses pochoirs de légendes incisives comme « J'enfile l'art mur pour bombarder des mots cœurs ».
Actualités Côte d'Ivoire/ Un corps sans vie découvert à Bloléquin Corps sans vie (1), pub-5991544264500637, DIRECT, f08c47fec0942fa0 octobre 18th, 2018 Commentaires fermés sur Corps sans vie (1)
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[dropcap]U[/dropcap]n découverte macabre a été faite le jeudi 6 janvier non loin du pont de Kobaya dans la commune de Ratoma. Gala Ebélamou, âgé de seulement 14 ans, était fleuriste. Son corps sans vie pendu a été retrouvé ce matin sur son lieu de travail. Elhadj Aboubacar Sylla, vice-président de la jeunesse de Kobaya, raconte dans quelles circonstances qu'il a appris le drame. ''Ce matin, j'étais en cours de route pour la ville quand j'ai été informé de la découverte d'un corps sans vie suspendu dans notre jardin. Aussitôt, j'ai appelé les autorités et les forces de l'ordre'', indique-t-il. Notre interlocuteur assure qu'il connait le défunt qui est un apprenti jardinier dans la zone. Kasai-central : un corps sans vie retrouvé à Mupompa – satellite24.net. ''Nous ignorons les causes de sa mort. Il est bien éduqué et est tout temps avec mes enfants. Je suis choqué et me demande comment à son âge peut-il se suicider? '', s'interroge-t-il. Le commissaire principal de la police scientifique Mohamed N'diaye, présent sur les lieux du drame, a souligné que ''nous avons été alertés par le service transmission du ministère de la sécurité et de la protection civile sur une découverte macabre au niveau du pont entre Lambandji-Kobaya.
Selon les informations recueillies par un contact sur place, il s'agit d'une jeune gérante de bistrot, Carine, portée disparue la veille au soir dont le corps a été retrouvé ce mardi 26 avril, au quartier Sotraho. Selon toute vraisemblance, des organes lui auraient été prélevés. Une enquête policière a été ouverte ce matin, et en attendant ses résultats, la ville bruisse de rumeurs dont la plupart se révèlent difficilement vérifiables. Mais un contact de Gabonreview en séjour professionnel à Moanda (Haut-Ogooué) assure que le corps sans vie d'une femme âgée visiblement d'une trentaine d'années appelée Carine a été retrouvé dans la matinée du mardi 26 avril au quartier dit Sotraho, entre le carrefour de Douanes et l'entrée de Socoba. Il s'agit d'une jeune gérante de bistrot portée disparue la veille au soir. Son corps dénudé laisse penser qu'elle a été assassinée par ses ravisseurs. Ziguinchor: Découverte d’un corps sans vie d’une femme – Kaolackinfos. Pire, selon toute vraisemblance, le sexe et la langue de la victime auraient été prélevés. Sur les images mises à sa disposition que Gabonreview se refuse à diffuser telles quelles, rien ne permet de confirmer que ces organes ont été « coupés » comme l'affirment plusieurs personnes à Moanda.