Code Moral Judo En Japonais 2016 – Cause D Irresponsabilité Pénale

Devoir Français 3Ème Année Lettre

Histoire du judo Le terme judo est composé de 2 kanjis qui signifient: - souplesse ( 柔, jū) - la voie ( 道, dō) La volonté du fondateur du judo, Jigoro Kano, était de démocratiser une discipline qui demande autant de ressources physiques que mentales se basant sur l'école d'arts martiaux japonais traditionnels. La légende dit que Jigoro Kano s'est inspiré de la contemplation d'arbres enneigés pour établir les fondements du judo. On raconte qu'il remarquait que les branches des cerisiers se comportaient différemment des branches des roseaux. En effet, il remarquait que les branches des roseaux, plus souples que les branches des cerisiers, ne se cassaient pas. C'est ainsi que le judo, voie de la souplesse est née. Code moral du Judo Le judo est issu des arts martiaux japonais, qui s'est imprégné du Bushido (principe que les samoura ï s devaient respecter, littéralement voie du guerrier). Cet art martial véhicule des valeurs moraux qui s'interfèrent les unes aux autres construisant une formation morale.

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(Cliquez pour agrandir) L e Judo est un art martial considéré par les néophytes comme empli de discipline et de valeurs essentielles à la bonne conduite dans la société. Ne dit-on pas que le Judo est une école de la vie? Mais qu'est-ce qui représente le mieux ces valeurs? Il s'agit bien sûr, du fameux code moral du Judo, connu de tous et affiché fièrement dans tous les dojos. Mais qui en est à l'origine? De quand date-t-il? Et d'ou vient-il? Le Code moral que nous connaissons, présent dans tous les dojos, a seulement 30 ans et a été créé par des Français. En effet, il est spécifique à notre pays. Il est né d'une discussion entre Bernard Midan et Paul Parent en 1985. Un autre code moral existait déjà à l'époque mais il s'adressait uniquement aux ceintures noires. Il était composé des douze principes suivant: La rectitude Le courage La bonté, l'humanité La politesse La véracité sincérité, loyauté Le désintéressement ou détachement L'honneur Le devoir de fidélité La modestie Le respect Le contrôle de soi L'amitié Néanmoins, Bernard Midan voulait aller plus loin et créer un nouveau code qui s'adresserait à tous les Judokas même débutants, pour qu'ils puissent s'imprégner des valeurs du Judo et ce dès le premier cours.

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Il faut savoir tomber mais également savoir faire tomber, le but n'est pas de faire mal, de blesser. C'est ainsi que deux combattants peuvent se faire confiance mutuellement. Le contrôle de soi, c'est savoir se taire lorsque la colère monte Tout judoka, avant d'acquérir les techniques pour maîtriser son partenaire, doit savoir se maîtriser lui-même. Ceci implique qu'il se connaisse et qu'il sache exactement le moment où il faudra qu'il fasse l'effort pour bloquer ses impulsions, ses émotions. L'amitié, c'est le plus pur des sentiments humains A la différence des principes précédents, l'amitié est un sentiment. Il apparaît logiquement en conclusion de ce code moral. A partir du moment où le pratiquant se lie d'amitié avec un autre, cela veut dire qu'il est prêt, vis à vis de cette autre personne, à appliquer les règles précédentes, et inversement c'est en appliquant l'ensemble des règles vis à vis des autres que l'amitié naîtra.

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Ils n'existent qu'à travers les autres. La modestie, c'est savoir s'apprécier sans le montrer. C'est avoir cette humilité qui par ses silences force l'admiration. C'est savoir maîtriser ses sentiments. Aujourd'hui, dans la vie courante, où tout est fait pour mettre en compétition les hommes entre eux et où il est de bon aloi de montrer sa supériorité, il est très difficile de rester quelqu'un d'humble. Mais à bien y regarder de prêt, les personnes qui sont capables de maîtriser ce sentiment qu'est l'orgueil, ne passent jamais inaperçues. C'est très certainement l'une des règles du code moral la plus difficile à intégrer.. LE RESPECT – Sans respect aucune confiance ne peut naître Même si la finalité reste d'essayer de gagner, un beau geste, accompli par les deux combattants est mieux apprécié. Ils jouent le jeu est c'est là que réside l'essentiel. Il faut savoir tomber, mais également savoir faire tomber. Le but n'est pas de faire mal. C'est pour cette raison que toute prise doit être accompagnée jusqu'à son terme.

On ne laisse pas tomber son partenaire, on l'accompagne jusqu'au sol. C'est ainsi que les deux combattants peuvent se faire confiance mutuellement. L'un des deux, en principe, gagnera, mais sans blesser, sans occasionner la peur, simplement pour le plaisir et toujours dans la notion de jeu. LE CONTROLE DE SOI – C'est savoir se taire lorsque la colère monte Il peut paraître tout à fait incongru de voir apparaître ce précepte dans une discipline où il est question de combat. Tout pratiquant, avant d'acquérir les techniques pour maîtriser son partenaire, doit savoir avant tout se maîtriser lui-même. Ceci implique, qu'il se connaisse parfaitement et qu'il sache exactement le moment où il faudra qu'il fasse l'effort pour bloquer ses impulsions. Un judoka, sous l'effet de la douleur, pourrait réagir violemment et de façon inconsidérée vis à vis de son partenaire. Il doit toujours avoir à l'esprit que de sa propre maîtrise dépend la sécurité de son partenaire et sa propre sécurité. L'AMITIE – C'est le plus pur des sentiments humains A la différence des principes précédents, l'amitié est un sentiment.

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L' erreur sur le droit Elle est définie à l'article 122-3 du Code pénal: "N'est pas pénalement responsable la personne qui justifie avoir cru, par une erreur sur le droit qu'elle n'était pas en mesure d'éviter, pouvoir légitimement accomplir l'acte". Il est déductible de ce texte que, outre la question de la charge de la preuve, 3 conditions doivent être réunies: L'erreur doit porter sur une règle de droit. L'erreur doit être inévitable (ex: absence de publication des arrêtés de police ou des annexes auxquels renvoient les textes; mauvaise information juridique apportée par une autorité publique). Les faits justificatifs : l’irresponsabilité pénale. Pour l'auteur, son acte doit paraitre légitime. S'il y avait un doute de la part de l'auteur sur la légitimité de l'acte, l'erreur sur le droit ne pourra être retenue. Pour être relevée, la preuve de cette erreur doit être apportée par l'auteur de l'infraction. Cette cause d'irresponsabilité pénale n'est que très rarement retenue car le justiciable se doit de procéder à quelques vérifications avant de commettre un acte.

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L'article 121-1 du code pénal prévoit que « nul n'est responsable pénalement que de son propre fait ». La responsabilité pénale s'entend donc de répondre personnellement de la commission d'un acte interdit par la loi ou le règlement. Cette responsabilité peut toutefois être atténuée voire annihilée dans certains cas de figure. Les faits justificatifs d'une infraction pénale sont de deux ordres: les causes objectives d'irresponsabilité pénale (1) et les celles subjectives (2). Les causes objectives de l'irresponsabilité pénale L'ordre ou l'autorisation de la loi L'article 122-4 du code pénal prévoit cette possibilité. Seule la loi ou le règlement peut déroger à ses propres interdits. L' auteur sera donc exonéré de sa responsabilité pénale (ex: commettre une infraction afin de porter secours à une personne en danger; les officiers de police judiciaire peuvent, sous certaines conditions, commettre des infractions pour appréhender des délinquants). Cause d irresponsabilité pénale a la. Le commandement de l'autorité légitime L'article 122-4 du code pénal prévoit que « n'est pas pénalement responsable la personne qui accomplit un acte commandé par l'autorité légitime, sauf si cet acte est manifestement illégal ».

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Le code pénal a prévu des troubles qui sont des causes d'irresponsabilité pénale, c'est à dire des motifs grâce auxquels la personne auteur d'infractions pénales et éventuellement poursuivie devant le tribunal correctionnel ou la cour d'assises ne pourra pas être jugée responsable pénalement de ses actes. Le droit pénal est en effet soumis à un principe où la personne qui était atteinte, au moment des faits, d'un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrôle de ses actes n'est pas pénalement responsable. La loi distingue deux situations puisque, outre l'abolition du discernement, il est prévu le cas de l'altération du discernement. Les causes subjectives d’irresponsabilité pénale · Dis-moi mon droit. Il existe donc deux types de troubles différents: - le trouble abolissant le discernement; - le trouble altérant le discernement. Ainsi, lorsqu'une personne était atteinte, au moment des faits, d'un trouble psychique ou neuropsychique ayant altéré son discernement ou entravé le contrôle de ses actes, la juridiction doit en tenir compte pour déterminer la peine et en fixe le régime.

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L'abolition du discernement existe en cas de consommation d'alcool, de stupéfiants ou d'intoxications médicamenteuses volontaires, car l'article 122-1 du code pénal ne tient pas compte de l'origine du trouble. La preuve de la folie et les maladies de l'intelligence, qui se présentent comme un état permanent, ne seront pas difficile à établir. Cependant, en cas de folie plus spécialisée telle que la schizophrénie ou la paranoïa, la preuve de la relation de l'acte délictueux ou criminel avec le trouble psychique ou l'idée fixe doit aussi être établie. Cause d'irresponsabilité pénale contrainte. L'exonération de responsabilité pénale ne jouera que s'il est établi que cette personne n'avait pas conscience de ses actes au moment de la commission de son infraction pénale. Lorsque des troubles psychiques surviennent après la commission d'une infraction, le juge doit faire procéder à une expertise psychiatrique ou psychologique de la personne car ce trouble laisse présumer que cette dernière ait pu être en état de démence au moment de la commission des faits.

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3. Audience aux fins de déclaration d'irresponsabilité pénale Lorsqu'un consensus existe sur l'abolition du discernement de la personne mise en examen, le juge d'instruction, en fin d'information, rend une ordonnance de transmission du dossier au procureur général en vue de la saisine de la chambre de l'instruction aux fins de déclaration d'irresponsabilité pénale. Ainsi, contrairement au traitement " normal " des dossiers criminels, qui sont jugés devant une Cour d'Assises, la loi de 2008 a institué une audience aux fins de déclaration d'irresponsabilité pénale, laquelle se déroule devant la chambre de l'Instruction compétente. Cause d irresponsabilité pénale et procédure. A cette audience, comparaît l'auteur présumé des faits (éventuellement en visio-conférence si son état ne lui permet pas d'être présent à l'audience), assisté de son avocat. Sont également convoqués les experts psychiatres, et les parties civiles qui peuvent être représentées par leur avocat. Après que le Président de la juridiction a fait un rapport du dossier, le ou les experts sont invités à exposer leur rapport.

Quant à l'ordre de l'autorité légitime L'article 122-4 du Code pénal dispose dans son deuxième alinéa que « N'est pas pénalement responsable la personne qui accomplit un acte commandé par l'autorité légitime, sauf si cet acte est manifestement illégal. » Ainsi, la personne qui obéit à un ordre émanant de personnes investies d'un pouvoir de commandement au nom de la puissance publique n'est pas responsable des infractions qu'il commet dans ce cadre sauf si l'acte commandé est manifestement illégal. L'irresponsabilité pénale. L'obéissance à un ordre reçu ne doit cependant pas ôter à la personne tout discernement. C'est ainsi que la condamnation de Maurice Papon, pour des faits de crime contre l'humanité, a été confirmée par la Chambre criminelle de la Cour de cassation en date du 23 janvier 1997 (pourvoi n° 96-84. 822). B - L'Etat de nécessité et la légitime défense: L'article 51 du code pénal gabonais dispose que « Il n'y a ni crime ni délit lorsque l'acte était commandé par la nécessité actuelle de la défense de soi-même ou d'autrui, à condition que cette défense soit légitime et proportionnée à la nature et à la gravité de l'agression.