Maison De Disque Rap

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Publié le 24 nov. 2018 à 11:58 Mis à jour le 25 nov. 2018 à 13:56 Tout a changé et rien n'a changé. De IAM il y a plus de vingt ans, à PNL de nos jours, ce sont trois lettres et deux groupes de rap liés par le succès et la soif d'indépendance. Grâce à l'explosion du streaming, associée à leur capacité à autoproduire des albums à bas coûts, les rappeurs vivent un essor comparable à l'âge d'or des années 1990. A la différence que ne plus être obligé de presser un CD pour diffuser sa musique, et être son propre média grâce aux réseaux sociaux numériques, les rend moins subordonnés aux maisons de disques. Cette indépendance a eu des conséquences sur les « deals » musicaux avec les labels. Jusqu'au début des années 2010, les « contrats d'artiste » en major étaient légion et souvent rigides avec une exclusivité totale sur le rappeur pour au moins trois albums. Dans ce type d'accord, la maison de disques finance entièrement le processus de création artistique, de l'enregistrement à la distribution, et possède les droits « master », c'est-à-dire qu'elle est propriétaire de la musique et touche près de 80% des royalties sur les ventes, contre une fourchette située entre 2 et 8% pour l'artiste.

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Le talent local OM Records devient la seule maison de disques à avoir son siège à Marseille, bastion historique du hip-hop et du rap français depuis les années 1990. On peut donc supposer que OM Records se concentrera plus sur le talent musical local. Le but de ce partenariat avec l'OM est d'offrir de nouvelles opportunités aux artistes établis, aux talents émergents et aux collectifs d'artistes de Marseille, du Sud de la France au sens large et même d'Afrique. Alors à quand une maison de disques sur le rap et le hip hop québécois? C'est à vous qu'on parle, l'Impact de Montréal! *Ok, Nickelback ne fera plaisir qu'à notre ami Patrick Friolet de RDS. Il avoue son amour pour le groupe ici.

Donc ce n'est pas une question d'époque. Ca a toujours été comme ça et pas que dans le rap », conclut Karim Thiam. Remi Benchebra de la Streetschool Cet article a été réalisé dans le cadre d'un partenariat entre l'école de journalisme et « Les Echos »