Fabienne Verdier | Domaine De Chaumont-Sur-Loire

Boule Décorative Verre Soufflé Sur Racine

Ainsi, au fil des salles du musée, ce sont 6 temps forts qui seront proposés aux visiteurs, autant de moments qui permettent d'embrasser l'évolution et la richesse du travail de l'artiste... La dernière section de l'exposition sera consacrée à ses toutes nouvelles créations issues de son expérience du plein air sur les terres de Cézanne, où l'on verra pour la première fois comment l'artiste s'est confrontée à la Sainte Victoire et aux lieux cézanniens durant près d'une année. Plus d'infos en cliquant ici Au musée du pavillon de Vendôme Du 21 juin au 13 octobre 2019, l'Atelier nomade présente les techniques de travail de Fabienne Verdier. Dans ce lieu atypique du XVIIIe consacré à l'art contemporain, posé dans un jardin en plein cœur de la ville, on pourra voir "l'atelier nomade" de l'artiste, celui qui lui a permis de travailler "sur le motif", dans la nature même. On y verra aussi ses pinceaux aussi bien en poils de barbe de rat que de plume de coq... une salle entière sera consacrée aux dessins et gouaches réalisées au sommet de la montagne Sainte -Victoire; un film Walking painting fera mieux comprendre la complexité du processus de création de l'artiste.

  1. Fabienne verdier montagne sainte victoire
  2. Fabienne verdier sainte victoire de la
  3. Fabienne verdier sainte victoire 2
  4. Fabienne verdier sainte victoire et

Fabienne Verdier Montagne Sainte Victoire

En 2018, à l'invitation du musée Granet, Fabienne Verdier décide d'« aller au motif », selon l'expression de Paul Cézanne, pour se confronter à la montagne Sainte-Victoire. Elle imagine un atelier nomade, immergé dans la nature et aux prises avec les éléments. Après une ascension, elle choisit cinq lieux, offrant différents points de vue sur la montagne, comme ici depuis le barrage de Bimont, permettant de capter sa silhouette triangulaire. Quelle chance avons-nous, à Brest, de pouvoir admirer cette sérigraphie tirée de ses grandes toiles, et grâce à elle de nous évader pour rejoindre les terres de Cézanne! Pour en savoir plus: Réalisation Stratis

Fabienne Verdier Sainte Victoire De La

Ces expositions s'accompagnent d'un programme très large en direction de tous les publics: conférences, rencontres, concerts, ateliers pédagogiques, visites guidées, danse, lectures... Au musée Granet Sur plus de 700 m2 d'espace muséal, l'exposition retrace le parcours de Fabienne Verdier depuis son retour de Chine où elle est restée plus de 10 ans, jusqu'à ses œuvres créées ces derniers mois dans les carrières de Bibémus, face à la Sainte-Victoire, à Puyloubier, ou au sommet de la montagne mythique... Il s'agit de la première rétrospective de l'artiste en France après celle au Hong Kong City Hall en mai 2014. Cette exposition-rétrospective permettra au visiteur d'appréhender l'œuvre de l'artiste dans sa globalité, de mieux comprendre son apprentissage auprès des lettrés chinois après la Révolution culturelle et de voir comment, rentrée en France, Fabienne Verdier élabore une esthétique nouvelle en se nourrissant des grands courants de pensée de la peinture occidentale (des Primitifs flamands à l'Expressionisme abstrait).

Fabienne Verdier Sainte Victoire 2

Inscrivant ses pas dans ceux de Cézanne, elle installe son atelier nomade, près de 300 kilos transporté à dos d'homme et d'âne, sur les flancs de la Sainte-Victoire. "Je ne dormais plus, je cherchais une solution pour apporter mon propre regard, capter les forces à l'oeuvre sans peindre la représentation figurative de la montagne", se souvient l'artiste. A force d'immersion, Fabienne Verdier "accueille" les éléments qui s'associent à son geste et au pinceau. "Le vent, la pluie, la grêle cherchaient à construire des fractales dans la matière de ma peinture". Sur une toile, le mistral a creusé des crevasses dans la peinture. "Aller au motif, ça a été une vraie césure dans son oeuvre", ajoute Bruno Ely. L'artiste parle de "vraie révolution". Pour ses tableaux de la Sainte-Victoire, elle a choisi le noir. "J'ai voulu prendre les terres de la vallée de l'Arc" proche de la montagne, où dominent les ocres mais "j'ai dû tout détruire, on lisait plus dans le spectre du noir que dans l'illusion de la couleur".

Fabienne Verdier Sainte Victoire Et

La peintre française Fabienne Verdier devant l'un de ses oeuvres, "Yuan: retour aux sources vives" (2009), à l'occasion de la rétrospective "Sur les Terres de Cezanne" au musée Granet d'Aix-en-Provence, le 9 octobre 2019 / AFP/Archives "En France, on m'avait enseigné la peinture figurative et le chevalet, en Chine on peint à la verticale par introspection". La peintre française Fabienne Verdier poursuit depuis 40 ans sa quête d'expériences picturales qui l'a conduite sur les traces de Cézanne. Déjà exposée à Londres, Singapour ou Lausanne, cette artiste bénéficie pour la première fois d'une rétrospective en France, à Aix-en-Provence. Elle expose ses toiles abstraites inspirées de la calligraphie chinoise jusqu'à ses dernières oeuvres réalisées après une immersion de plusieurs mois dans les paysages chers au peintre Paul Cézanne (1839-1906), au pied du massif de la Sainte-Victoire en Provence. Née à Paris en 1962 dans une famille qu'elle décrit comme "bourgeoise catholique", Fabienne Verdier a connu une enfance "très dure à vivre" après le divorce de ses parents.

Dans ce lieu atypique du XVIIIe consacré à l'art contemporain, posé dans un jardin en plein cœur de la ville, on a pu voir « l'atelier nomade » de l'artiste, celui qui lui a permis de travailler « sur le motif », dans la nature même. On y a également vu ses pinceaux aussi bien en poils de barbe de rat que de plume de coq… une salle entière fut consacrée aux dessins et gouaches réalisées au sommet de la montagne Sainte -Victoire; un film Walking painting a fait mieux comprendre la complexité du processus de création de l'artiste. Au premier étage, on a pu voir le « storyboard » des différentes phases de travail qui ont abouti à ses dernières œuvres inspirées des lieux cézanniens et visibles au musée Granet. Commissariat: Christel Roy, directrice du Pavillon de Vendôme / Co-commissaire: Alexandre Vanautgaerden, Académie royale de Belgique CITÉ DU LIVRE - GALERIE ZOLA Sound Traces, installation (Évenement terminé) À la Cité du livre – galerie Zola, a été présenté Sound Traces, une installation vidéo dans laquelle le visiteur a pu véritablement s'immerger.

Réservé aux abonnés Publié le 14/07/2019 à 18:21, Mis à jour le 14/07/2019 à 19:16 Formée en Chine, l'artiste a grimpé sur la Sainte-Victoire avec ses pinceaux géants. Le Musée Granet à Aix lui offre sa première rétrospective. Son pinceau court après le mouvement. Cela se voit dans la rétrospective - la première française - que lui consacre le Musée Granet à Aix. Dans ses œuvres regroupées par recherches au fil des salles, les idéogrammes sagement rangés des débuts s'échappent en boucles et en folles calligraphies. Cela se voit aussi dans la manière dont l'exposition essaime dans la ville. À la Cité du livre, une installation sur la manière dont la musique fait vibrer son pinceau. Au Pavillon Vendôme, un film somptueux sur ses walking paintings et la présentation de l'atelier nomade, les 350 kg de matériel qu'elle a fait monter à dos d'hommes et d'ânes en haut de la Sainte-Victoire, pour peindre sur le motif. « Ma vie est une succession d'enfermements très ascétiques où je me suis mise en introspection au défi de divers thèmes.