L'Été, Quelle Belle Saison ! : Un Joli Poème Sur La Saison Estivale | Momes.Net

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Ce sacré petit mois de Juin Couvert des couleurs d'arlequin, Nous conduit vers l'été, doucement, Allongeant les jours discrètement. Les averses, fréquentes, nettoient la nature Et laissent, derrière elles, un ciel d'azur. Fin-juin | Poèmes en Provence. Exaltant, des parfums enivrants Dans un univers transparent. Et, pourtant l'on sait sans aucun doute Que, quand Saint Barnabé, sous la céleste voûte Coupe le pied de ce pauvre Saint Médard L'été somnolent n'est jamais en retard. Et sous un soleil chaud et éclatant En ce dernier mois du printemps S'épanouie, la fête de la musique Nous entraînant, dans une ronde magnifique.

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Le printemps refleurit, avril est annoncé, Mai lui a succédé et tu t'es imposé, Dernier d'un beau trio uni par l'allégresse Emparée par l'été aux griffes de tigresse. Juin tu es le lien des douceur et chaleur, Tu viens paré de fleurs et de fruits de valeur Dont l'emblème suprême est l'exquise cerise Qui du merle moqueur est la plus belle prise. Tu dis: méfiez-vous du soleil et son coup Sur le front et les joues, sur la nuque et le cou Mais tu sais réserver des matinées glacées Quand l'herbe et la rosée sont ensemble enlacées. Juin, poème de Sully Prudhomme. Ah! quelle bonne idée d'allonger la journée Pendant laquelle tu partiras en tournée En appuyant tes yeux grands ouverts sans répit Sur les blés blonds d'été qui gonflent leurs épis. Le soir tu te retiens en laissant les deux mains Des amoureux serrées sans peur des lendemains Que tu coucheras tard, ivres de lassitude, Rêvant aux matins clairs, dans la béatitude. Juin, mois maréchal aux cardinales vertus Tu réchauffes ceux que l'hiver a dévêtus Qui ont besoin de toi après que les pervenches Et le muguet de mai avaient pris leurs revanches.

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Son visage de soie caresse ( continuer... ) Pourquoi on aime tellement regarder le soleil qui se couche? Sur un lac doré, ( continuer... ) Voici l'été encor, la chaleur, la clarté, La renaissance simple et paisible ( continuer... ) L'été est bleu comme le soleil et presque rouge comme l'infini L'été est ( continuer... ) Il brille, le sauvage Été, La poitrine pleine de roses. Poème juin été à paris collection. Il brûle tout, hommes ( continuer... ) A Laure Bernard. C'est l'été. Le soleil darde Ses rayons intarissables Sur ( continuer... ) À José-Maria de Heredia.

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Voici le cerf rapide, Et la meute intrépide! Hallali, hallali! Les cors bruyants résonnent, Les pieds des chevaux tonnent, Et le cerf affaibli Sort de l'étang qu'il trouble; L'ardeur des chiens redouble: Il chancelle, il s'abat. Pauvre cerf! Poème juin eté 2013. son corps saigne, La sueur à flots baigne Son flanc meurtri qui bat; Son œil plein de sang roule Une larme, qui coule Sans toucher ses vainqueurs; Ses membres froids s'allongent; Et dans son col se plongent Les couteaux des piqueurs. Et lorsque de ce rêve Qui jamais ne s'achève Mon esprit est lassé, J'écoute de la source Arrêtée en sa course Gémir le flot glacé, Gazouiller la fauvette Et chanter l'alouette Au milieu d'un ciel pur; Puis je m'endors tranquille Sous l'ondoyant asile De quelque ombrage obscur.

Poème Juin Eté 2009

Gérard de Nerval Retrouvez, dans ce dossier, la liste de tous les thèmes qu'abordent mes articles poésies et comptines.

L es prés ont une odeur d'herbe verte et mouillée, Un frais soleil pénètre en l'épaisseur des bois; Toute chose étincelle, et la jeune feuillée Et les nids palpitants s'éveillent à la fois. Les cours d'eau diligents aux pentes des collines Ruissellent, clairs et gais, sur la mousse et le thym; Ils chantent au milieu des buissons d'aubépines Avec le vent rieur et l'oiseau du matin. Les gazons sont tout pleins de voix harmonieuses, L'aube fait un tapis de perles aux sentiers, Et l'abeille, quittant les prochaines yeuses, Suspend son aile d'or aux pâles églantiers. Poème juin été envoyé. Sous les saules ployants la vache lente et belle Paît dans l'herbe abondante au bord des tièdes eaux: La joug n'a point encor courbé son cou rebelle; Une rose vapeur emplit ses blonds naseaux. Et par delà le fleuve aux deux rives fleuries Qui vers l'horizon bleu coule à travers les prés, Le taureau mugissant, roi fougueux des prairies, Hume l'air qui l'enivre et bat ses flancs pourprés. La Terre rit, confuse, à la vierge pareille Qui d'un premier baiser frémit languissamment, Et son œil est humide et sa joue est vermeille, Et son âme a senti les lèvres de l'amant.