Poeme Sur La Douleur

Quelle Est L Origine De La Choucroute

Dieu lui-même a respect de la souffrance humaine; Réelle est la douleur si la cause en est vaine. Qu'importe par qui nous souffrons! Poeme sur la douleur de. La fleur du bien grandit sur les âpres collines: L'homme qui sait porter sa couronne d'épines Devient un dieu sous les affronts. Ne maudis point, ami, ta suprême torture; Respecte ta douleur, la douleur nous épure; Laissons le blasphème à l'orgueil. Le fleuve de la vie aux ondes limoneuses, Pour rejaillir au ciel en gerbes lumineuses, Doit se briser contre un écueil. Auguste LACAUSSADE

Poème Sur La Douleur Du Coeur

Citation de Sully Prudhomme; Journal intime, le 26 juin 1868. Douleur et noblesse: Cette homme est bassement heureux. Ne te hâte pas de le plaindre. Il n'a sans doute que ce qu'il mérite. "Capitale de la douleur" de Paul Eluard [poèmes choisis] - La Parafe. La douleur choisit ses amants. Citation de Gustave Thibon; L'échelle de Jacob (1942) Sans apprentissage de la douleur, le bonheur n'est pas solide. Citation de Frédéric Beigbeder; L'amour dure trois ans (1997) Ici-bas, la douleur à la douleur s'enchaîne, le jour succède au jour, et la peine à la peine. Citation de Alphonse de Lamartine; L'homme (1815-1820) Toi, tu es entré dans ton agonie le jour où tu es né, et le sceau de la douleur t'avait marqué au front dans le sein de ta mère. Viens, nous respecterons ta peine et nous tâcherons d'en alléger le poids. Citation de George Sand; Les lettres d'un voyageur (1834) La douleur qui nous fait passer la nuit en veille nous rend triste comme le pélican du désert. Citation de Mary Sarah Newton; Essais divers, lettres et pensées (1852) Sainte douleur, feu purifiant, dévore l'esprit d'indépendance et de vanité jusqu'à la racine.

Poeme Sur La Douleur Par

ce n'est point à nous de redouter l' enfer, Car nos fautes n'ont pas mérité de supplices: Si nous avons failli, nous avons tant souffert! Eh bien, nous renonçons même à cette espérance D ' entrer dans ton royaume et de voir tes splendeurs, Seigneur! Poèmes sur Douleur - Poésie francaise.fr. nous refusons jusqu 'à ta récompense, Et nous ne voulons pas du prix de nos douleurs. Nous le savons, tu peux donner encor des ailes Aux âmes qui ployaient sous un fardeau trop lourd; Tu peux, lorsqu 'il te plaît, loin des sphères mortelles, Les élever à toi dans la grâce et l' amour; Tu peux, parmi les chœurs qui chantent tes louanges, A tes pieds, sous tes yeux, nous mettre au premier rang, Nous faire couronner par la main de tes anges, Nous revêtir de gloire en nous transfigurant. Tu peux nous pénétrer d'une vigueur nouvelle, Nous rendre le désir que nous avions perdu… Oui, mais le Souvenir, cette ronce immortelle Attachée à nos cœurs, l'en arracheras-tu? Quand de tes chérubins la phalange sacrée Nous saluerait élus en ouvrant les saints lieux, Nous leur crierions bientôt d'une voix éplorée: « Nous élus?

Poeme Sur La Douleur De

La trompette a sonné. Des tombes entr' ouvertes Les pâles habitants ont tout à coup frémi. Ils se lèvent, laissant ces demeures désertes Où dans l' ombre et la paix leur poussière a dormi. Quelgues morts cependant sont restés immobiles; Ils ont tout entendu, mais le divin clairon Ni l'ange qui les presse à ces derniers asiles Ne les arracheront. « Quoi! renaître! revoir le ciel et la lumière, Ces témoins d'un malheur qui n'est point oublié, Eux qui sur nos douleurs et sur notre misère Ont souri sans pitié! Non, non! Plutôt la Nuit, la Nuit sombre, éternelle! Fille du vieux Chaos, garde-nous sous ton aile. Et toi, sœur du Sommeil, toi qui nous as bercés, Mort, ne nous livre pas; contre ton sein fidèle Tiens-nous bien embrassés. Poème sur la douleur et la souffrance. Ah! l' heure où tu parus est à jamais bénie; Sur notre front meurtri que ton baiser fut doux! Quand tout nous rejetait, le néant et la vie, Tes bras compatissants, ô notre unique amie! Se sont ouverts pour nous. Nous arrivions à toi, venant d'un long voyage, Battus par tous les vents, haletants, harassés.

Poème Sur La Douleur Et La Souffrance

Une poésie de l'urgence depuis Gaza Commander de Ziad MEDOUKH Ziad Medoukh, pédagogue, poète, écrivain, militant engagé pour sa cause et simple citoyen palestinien, écrit ses poèmes en français afin de les partager avec le monde francophone. Ses mots sont des mots simples: ils scandent inlassablement l'attachement à la terre ancestrale et l'espoir d'une vie meilleure faite d'indépendance et de liberté; ils résonnent comme autant de chants en hommage à la vie au milieu de l'enfer de Gaza, de son enclavement et ses privations. Poème sur la douleur du coeur. Dans ses poèmes, il célèbre l'amour indéfectible pour sa patrie – la Palestine, la fidélité à sa ville – Gaza, la résistance par la non-violence, l'éducation, l'attachement à l'humanisme. À travers une catharsis salvatrice, il nous parle du sacrifice des femmes palestiniennes, du rôle de la jeunesse, de la dépossession, de la résilience, des souffrances infligées par la violence d'une oppression aveugle. Et sans cesse revient ce fol espoir d'un horizon enfin libéré: [... ] La joie vient toujours après la peine, Le soleil brille après la nuit sombre, Gaza sera heureuse, Gaza sera brillante, Gaza sera libre, Gaza vivra en paix.

Poeme Sur La Douleur Pour

Voici le temps passé de cette sombre lutte; Vivant, mais épuisé, mais meurtri par la chute, À la hauteur de l'homme enfin redressons-nous! Si l'avenir nous cache encor quelque disgrâce, Demeurons invincible à sa froide menace, Le regardant en face, Pour attendre ses coups. Tenons au fond du cœur toute douleur captive; Qu'elle y fasse sa plaie ardente, et toujours vive, Qu'elle saigne au-dedans mais ne se montre pas; Si l'on nous cherche au front quelque ride profonde, Jetons un fier sourire au regard qui nous sonde, Et soyons pour le monde Un heureux d'ici-bas. Quand le chaume s'embrase on ne voit pas encore Le feu qui sourdement s'étend et le dévore; La surface au soleil étincelle et reluit; Mais vienne l'ouragan, la flamme alors s'irrite, L'incendie apparaît, le toit se précipite, Et tout disparaît vite, Chaume, lumière et bruit. Ainsi de nous, mon âme! ainsi de notre vie!... Poèmes de douleur et poésie de souffrance - Éditions Melonic. Chaume vivant, en proie au muet incendie, Quand tout n'est plus que cendre, arrive l'aquilon! Qu'en nous voyant tomber sans plainte et sans murmure, Le vulgaire s'écrie: Où donc est la blessure?

La forme de ton cœur est chimérique Et ton amour ressemble à mon désir perdu. O soupirs d'ambre, rêves, regards. Mais tu n'as pas toujours été avec moi. Ma mémoire Est encore obscurcie de t'avoir vu venir Et partir. Le temps se sert de mots comme l'amour. Les lumières dictées à la lumière constante et pauvre passent avec moi toutes les écluses de la vie. Je reconnais les femmes à fleur de cheveux, de leur poitrine et de leurs mains. Elles ont oublié le printemps, elles pâlissent à perte d'haleine. Et toi, tu te dissimulais comme une épée dans la déroute, tu t'immobilisais, orgueil, sur le large visage de quelque déesse méprisante et masquée. Toute brillante d'amour, tu fascinais l'univers ignorant. Je t'ai saisie et depuis, ivre de larmes, je baise partout pour toi l'espace abandonné. LE GRAND JOUR Viens, monte. Bientôt les plumes les plus légères, scaphandrier de l'air, ne tiendront par le cou. La terre ne porte que le nécessaire et tes oiseaux de belle espèce, sourire. Aux lieux de ta tristesse, comme une ombre derrière l'amour, le paysage couvre tout.