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Quatre artistes espagnols développent leurs projets au Maroc jusqu'au 5 juin grâce à l'échange de résidences entre le centre de culture contemporaine de la Diputación de Málaga, La Térmica, et la Fondation Maroc Premium (Maroc). Il s'agit du deuxième volet de ce projet, présenté en novembre dernier, qui permettra à des artistes des deux côtés de la Méditerranée de développer leurs projets dans le pays voisin. Il s'agit d'une nouvelle étape dans le processus d'internationalisation des activités du centre culturel de la Diputación, qui met en évidence la position stratégique que la province de Malaga est en train de consolider sur la scène culturelle et qui constitue également une forme de soutien aux créateurs espagnols. Dytique — Wikimini, l’encyclopédie pour enfants. Ainsi, début mai, le Centre d'Art Contemporain de Ifitry (Essaouira, Maroc) a reçu quatre artistes qui avaient déjà participé au programme Créateurs de La Térmica. Ainsi, Florencia Rojas, Emmanuel Lafont, Paloma de la Cruz et Jorge Isla ont été sélectionnés pour participer à ce nouveau projet d'échange.

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Ils ont résidé à La Térmica pour développer leurs projets en 2014, 2015, 2019 et 2020, respectivement. En 2021, La Térmica a accueilli les artistes Imad Mansour, Khadija Tnana, Abdelmalek Berleiss et Mounat Charrat qui, à travers leurs œuvres, ont mis en valeur l'art marocain. Ils ont également présenté leurs travaux au public et aux professionnels du secteur lors d'une journée portes ouvertes. C'est en 2014 qu'a eu lieu la première édition du programme Créateurs de La Térmica, par lequel sont passés jusqu'à présent 49 artistes du monde entier qui, en plus de résider à La Térmica, ont eu leur propre espace pour travailler sur leurs projets. Artistes du programme Créateurs de La Térmica Florencia Rojas (née en Argentine et vivant entre Malaga et Madrid) pratique principalement la photographie, établissant des récits sur ce qui se trouve en dehors du système de représentation dominant. Emmanuel Lafont (né en Argentine et vivant à Malaga), travaille dans une ligne personnelle intitulée "Conversations avec Shakespeare", où il raconte son expérience à chaque étape, et dans une seconde ligne plus picturale, de grand format, basée sur l'hyperréalisme.

En effet, le système de pivotement avait nécessité la construction dans l'eau d'imposants appuis. Démoli en 1908 dans le cadre de l'aménagement de l'Escaut, il fit place en 1910 à un large pont levant hydraulique permettant une navigation à double sens. Les tourneux d'pont Lorsque les bateaux arrivaient, les tourneux d'pont poussaient le pont afin de laisser passer les navires qui voulaient passer. Le pont Notre-Dame aujourd'hui (2015) La passerelle fut installée en 1881 pour permettre aux piétons et cyclistes de traverser quand le pont Notre-Dame est levé. Le pont à Pont (1950) autrefois appelé aussi pont aux pommes Le pont à Pont aujourd'hui (2015) Le Pont à Pont est probablement le plus ancien de la ville, il est déjà mentionné dans la Charte de Chilpéric en 578 par les mots "ponte super flumenscalt". Ce nom étrange de Pont à Pont proviendrait du fait qu'il était composé de plusieurs arches donnant l'impression de ponts se succédant. Il est mieux connu des Tournaisiens sous le nom de Pont aux Pommes suite au déménagement en 1653, du marché aux pommes de la Grand-Place vers le quai.