Toutes Les Poésies Le Cheval - Tête À Modeler

Avis Epilateur Silk N

Les chevaux brillants au coucher du soleil Viennent rêver avant notre réveil. Cassandre, 10 ans, de Rouyn-Noranda. Kelvins Mon cheval gris est un beau nuage de pluie Broutant au champs avec tout les autres chevaux Il me regarde fixement les yeux éblouis Par le soleil comme s'il regarde un flambeau. C'est le souffle court et le coeur en tempête Que je sens sur ma peau ta brise de douceur. D'un parfum délicat qui ravage et entête. Un grand vent dans l'esprit un ouragan dans le coeur Il est bien difficile de partir, tout quitter Dés lors de perdre un cheval que vous aimez. Mais pourquoi rester, si ce n'est que pour souffrir. Le cheval - Alain HANNECART - Vos poèmes - Poésie française - Tous les poèmes - Tous les poètes. Je vais vivre une nouvelle ère comme bon me semble Même si pour mon coeur il faut qu'on soit ensemble Je vais vivre dans l'ombre, et un beau jour mourir. Céline, 13 ans de Plonévez-Porzay. Mon cheval Mon cheval je l'adore. Il brille comme de l'or. C'est un cheval tout blanc, Et je l'aime tant! Il adore courir dans le pré Ou sur les routes galoper. Et le soir, dans la grange, Je lui met du foin qu'il mange Puis il part au pays des rêves Jusqu'à ce que le jour se lève Et mon cheval adoré Recommence sa journée!

  1. Poésie mon chevallier

Poésie Mon Chevallier

CHEVAL MON AMI Crinière au vent! Tu galopes sur le sable Majestueux et fier. Tu franchis tous les obstacles, Telle qu'une flèche, tu poursuis ton chemin. Tes sabots martèlent le sol Leurs tempos m'emportent J'admire ta prestance! tu me fixes des yeux Tu ne connais pas la peur Tu t'élances comme un grand seigneur! Tu connais ton cavalier Tu es prêt pour le combat Jadis tu remportais des batailles Pur sang magnifique! Continu d'être Libre et sauvage! de galoper dans l'immensité! Ta noblesse n'a pas d'égale Mon ami, ta dernière course devrait se terminer dans la paix Comme un grand guerrier Tu es, et resteras, pour toujours un ami fidèle. Poésie mon chevallier. PATRICIA DRAGIN

Guillaume Apollinaire Mes durs rêves formels sauront te chevaucher, Mon destin au char d'or sera ton beau cocher Qui pour rênes tiendra tendus à frénésie, Mes vers, les parangons de toute poésie. Guillaume Apollinaire, Le Bestiaire, ou Cortège d'Orphée, 1911