L'article 384 Du Nouveau Code De Procédure Civile (Ncpc)

Nom Des Parties D Un Robinet

Jusqu'alors en effet, la compétence du juge de la mise en état, en matière d'incidents, était circonscrite à toutes les exceptions de procédure et à tous les incidents mettant fin à l'instance, c'est-à-dire tous les incidents susceptibles d'entraîner l'extinction de l'instance. Les incidents mettant fin à l'instance, visés par le deuxième alinéa de l'article 771 du Code de procédure civile, étaient ceux mentionnés par les articles 384 et 385 du Code de procédure civile (transaction, acquiescement, péremption, caducité, désistement, décès d'une partie) et n'incluaient donc pas les fins de non-recevoir tendant à faire déclarer l'adversaire irrecevable en sa demande sans examen au fond. Article 384 et 385 du code de procédure civile vile francais. Ainsi donc, le juge de la mise en état a désormais compétence pour connaître des exceptions d'irrecevabilité pour cause de défaut de droit à agir, tel que le défaut de qualité, le défaut d'intérêt ou bien encore la prescription et la chose jugée. L'article 789 du Code de procédure civile indique très clairement que les parties ne sont plus recevables à soulever une fin de non-recevoir après le dessaisissement du juge de la mise en état, à moins qu'elle ne survienne ou soit révélée postérieurement.

Article 384 Et 385 Du Code De Procédure Civile Professionnel

Ainsi donc, le juge de la mise en état a désormais compétence pour connaître des exceptions d'irrecevabilité pour cause de défaut de droit à agir, tel que le défaut de qualité, le défaut d'intérêt ou bien encore la prescription et la chose jugée. L'article 789 du code de procédure civile indique très clairement que les parties ne sont plus recevables à soulever une fin de non-recevoir après le dessaisissement du juge de la mise en état, à moins qu'elle ne survienne ou soit révélée postérieurement. Décision - RG n°19-12.465 | Cour de cassation. Second point important, l'article 794 du code de procédure civile dispose que si les ordonnances du juge de la mise en état n'ont pas, au principal, l'autorité de la chose jugée, il en va différemment de celles statuant sur les exceptions de procédure, sur les fins de non-recevoir, sur les incidents mettant fin à l'instance et sur les questions de fond tranchée en application des dispositions du 6° de l'article 789 du code de procédure civile. Car en effet, la difficulté majeure de cette réforme tient au fait qu'il est bien souvent difficile de statuer sur une fin de non-recevoir sans connaître du fond du droit.

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Selon l'article 771 du Code de procédure civile, le juge de la mise en état est seul compétent jusqu'à son dessaisissement pour statuer sur les exceptions de procédure et sur les incidents mettant fin à l'instance. Ceci revêt en effet une grande importance pratique. Dans le cadre d'une procédure judiciaire où un juge de la mise en état a été désigné, certaines questions devront immédiatement être tranchées par un juge, et ce sans attendre une décision du Tribunal. L'article 384 du Nouveau Code de Procédure Civile (NCPC). Il s'agit donc, selon l'article précité, des fins de non-recevoir et exceptions de procédure. Ces dernières, les exceptions de procédure, sont définies par les articles 73 et suivants du Code de procédure civile. L'article 73 du Code de procédure civile prévoit ainsi ce qui suit: « Constitue une exception de procédure tout moyen qui tend soit à faire déclarer la procédure irrégulière ou éteinte, soit à en suspendre le cours ». Il a été soutenu que la question de la validité ou de la nullité d'un rapport d'expertise judiciaire devrait être jugée par le Juge de la mise en état.

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Article 384 Et 385 Du Code De Procédure Civile Palestinienne

Ce serait une pure folie pour le conseil d'une partie que d'accepter en défense la régularisation d'une convention de procédure participative dès l'audience d'orientation, en renonçant par avance (et pour quelle raison légitime? ) à se prévaloir notamment d'une fin de non-recevoir ou d'une exception de procédure. L'enfer est souvent pavé de bonnes intentions et si malgré les meilleures intentions du monde on s'y prend comme un manche, on court inexorablement au désastre… L'adage apparaît ici confirmé.

» Ce serait une pure folie pour le conseil d'une partie que d'accepter en défense la régularisation d'une convention de procédure participative dès l'audience d'orientation, en renonçant par avance (et pour quelle raison légitime? Article 384 et 385 du code de procédure civile.gouv. ) à se prévaloir notamment d'une fin de non-recevoir ou d'une exception de procédure. L'enfer est souvent pavé de bonnes intentions et si malgré les meilleures intentions du monde on s'y prend comme un manche, on court inexorablement au désastre … L'adage apparaît ici confirmé. Cet article n'engage que son auteur.