Le Petit Endroit Poème

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d'hommes: à Nb. Femmes Nb. Enfants Catégorie ISBN: LE PETIT ENDROIT (Poème de Alfred de Musset) Blanchette MARCORELLES Volume: THEATRE ET HISTOIRES EN DIALOGUES TOME2 Homme: 0 Femme: 0 Enfant: 0 Editeur: LE TEMPS APPRIVOISE Catégorie: Espace jeunesse > Jeune public enfant ISBN: 9782283581117 0/10 Indisponible nous contacter Soyez la première personne à laisser un avis sur cette oeuvre Me connecter Laissez votre avis sur LE PETIT ENDROIT (Poème de Alfred de Musset) Votre email: Votre mot de passe: M'inscrire
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14 mars 2009 6 14 / 03 / mars / 2009 13:30 Poème de Musset à Georges Sand et qui montre que même ce petit endroit peut être décrit de façon poétique! Le petit endroit Vous qui venez ici dans une humble posture De vos flancs alourdis décharger le fardeau Veuillez quand vous aurez soulagé la nature Et déposé dans l'urne un modeste cadeau Epancher dans l'amphore un courant d'onde pure Et sur l'autel fumant placer pour chapiteau Le couvercle arrondi dont l'auguste pointure Aux parfums indiscrets doit servir de tombeau. Published by surfingmoune - dans De tout et de rien

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Arrête, gondolier; que ta barque un moment Cesse de fendre les lagunes; L'essor ( continuer... ) Paris la séductrice à l'âme étoilée puis brisée par la haine aux mille ( continuer... ) Mon enfant, si nous allions en Amérique dont j'ai toujours rêvé Sur un vaisseau ( continuer... ) Agréables jardins où les Zéphyrs et Flore Se trouvent tous les jours au lever ( continuer... ) Ah! si Vous avez à Tolède, Un vitrier Qui vous forge un vitrail plus raide Qu'un ( continuer... ) (Au Marquis de L. M. F) Oh! qui m'emportera vers les tièdes rivages, Où l'Arno ( continuer... ) Je veux, pour composer chastement mes églogues, Coucher auprès du ciel, comme ( continuer... ) Pauvres vieilles cités par les plaines perdues, Dites de quel grand plan de gloire, Vers ( continuer... ) Vois aux cieux le grand rond de cuivre rouge luire, Immense casserole où le Bon ( continuer... ) Ô ville, tu feras agenouiller l'histoire. Saigner est ta beauté, mourir est ta ( continuer... ) « Prends ma main. Voyageur, et montons sur la tour.

Sur le ciel terne Court un fil de fer: Mansarde où l'on aima, ( continuer... ) Banquise d'art vivant et muraille de pluie, Ses palais broient la mort, et ses ( continuer... ) Tiré du Sanscrit. L'Inde me plaît, non pas que j'aie encore De mes yeux ( continuer... ) Qui ça? moi, sans domicile! Si on peut dir'! J'en ai rien. J'en ai ( continuer... ) J'abriterai dans mon sanctuaire d'Asie Mon éternel besoin d'ombre et de ( continuer... ) De la grande promenade donnant sur la baie, ce jour où les nuages d'octobre s'étaient ( continuer... ) Soudain... Le brouillard les passants sont alors hagards. Sur la route bitumée ornée ( continuer... ) La voûte de la nébuleuse m'emporte, Mon âme flirte avec les anges, Les muses ( continuer... ) À Constantin Guys. I De ce terrible paysage, Tel que jamais mortel n'en ( continuer... ) Qui voudra voir tout ce qu'ont pu nature, L'art et le ciel, Rome, te vienne voir ( continuer... ) Comme un factionnaire immobile au port d'arme, Dans ces murs où l'on croit ouïr ( continuer... ) Quand j'habitais Florence avec tous mes parents, Ma mère, ma grand-mère et ( continuer... ) Venise.

À la fin tu es las de ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ( continuer... ) Vieux château de Windsor, dont les pierres gothiques Éveillent d'Albion les harpes ( continuer... ) Briques et tuiles, Ô les charmants Petits asiles Pour les amants! Houblons ( continuer... ) A Paris mon pas décroît dans le crépuscule de vivre Sous la cruauté d'un ( continuer... ) Vague, perdue au fond des sables monotones, La ville d'autrefois, sans tours et ( continuer... ) Ne fut-il pas bâti par quelque duchesse Anne Ce logis d'ancien noble et de petit ( continuer... ) La ferme aux longs murs blancs, sous les grands arbres jaunes, Regarde, avec les ( continuer... ) Pompeïa-station — Vésuve, est-ce encor toi? Toi qui fis mon bonheur, tout ( continuer... ) I Ô Versailles, par cette après-midi fanée, Pourquoi ton souvenir m'obsède-t-il ( continuer... ) Ô Versaille, ô bois, ô portiques, Marbres vivants, berceaux antiques, Par ( continuer... ) O race humaine aux destins d'or vouée, As-tu senti de quel travail formidable ( continuer... ) Le caoutchouc de mes baskets Colle à l'asphalte, Qui coule au milieu des murs, De ( continuer... ) Dans Venise la rouge, Pas un bateau qui bouge, Pas un pêcheur dans l'eau, Pas ( continuer... ) Voir Naples et… — Fort bien, merci, j'en viens.