Comité D Entreprise Siemens De

Anchois En Saumure

Un plan injustifié L'activité projet a notamment souffert ces dernières années de la baisse des commandes venues d'Afrique du Nord, en raison de la chute des cours du pétrole et de l'instabilité politique de la région, a-t-il précisé. « On a du boulot, on a des commandes », a rétorqué Stéphane Collomb, secrétaire CFDT du comité d'entreprise de Siemens Energy Management. « On est prêt à se mettre autour d'une table pour négocier avec la direction, mais pas dans le cadre d'un plan social », a-t-il précisé, parlant d'un « plan pas justifié économiquement ». « On a du mal à comprendre la stratégie, si ce n'est de démanteler le site de Grenoble », a ajouté Stéphane Collomb. C'est le quatrième plan social depuis 2008 à Grenoble, selon le syndicaliste, qui évoque « plus de 350 suppressions de poste » en huit ans. « Notre objectif, c'est de privilégier le dialogue avec les partenaires sociaux et de minimiser le nombre de départs subis », a pour sa part assuré Ludovic Vallon. Il a affirmé que le groupe entendait confirmer son ancrage à Grenoble notamment via une réorientation de l'activité recherche et développement.

  1. Comité d entreprise siemens to construct battery
  2. Comité d entreprise siemens direct
  3. Comité d entreprise siemens launches selector application
  4. Comité d entreprise siemens auto

Comité D Entreprise Siemens To Construct Battery

02/03/2010 à 10:12, Mis à jour le 02/03/2010 à 10:16 Patrons et représentants du comité d'entreprise de l'usine Siemens de Saint-Chamond (Loire) sont retenus depuis lundi 16h00 dans la salle de négociations de l'entreprise par l'intersyndicale du site, rapporte mardi Le Progrès. La suite après cette publicité Les salariés demandent le maintien du site, " le dimensionnement à 476 emplois sur la Loire, l'engagement de ne pas réduire le nombre de postes effectifs en dessous du nombre visé, pas de nouveau plan social pendant cinq ans, des indemnités supra-légales plus conséquentes pour les départs et le paiement des heures de grève ", indique le titre journal. A l'heure qu'il est, les dirigeants n'ont pas été libérés mais seraient bien traités. Le mois dernier, les salariés avaient manifesté en masse, portant des masques blancs (photo) et des pancartes " Siemens tue mon emploi ".

Comité D Entreprise Siemens Direct

Par Reuters le 18. 01. 2018 à 21h53 Lecture 2 min. Le comité d'entreprise européen d'Alstom devrait finalement rendre le 31 janvier son avis sur le projet de rapprochement avec le groupe allemand Siemens. /Photo d'archives/REUTERS/Jacky Naegelen Jacky Naegelen PARIS (Reuters) - Le comité d'entreprise européen d'Alstom devrait finalement rendre le 31 janvier son avis sur le projet de rapprochement avec le groupe allemand Siemens, a fait savoir le syndicat CFE-CGC. L'avis du comité de groupe européen, qui devait être rendu jeudi, est consultatif mais constitue un passage obligé vers la fusion entre les deux entreprises. "La CFE-CGC, à l'instar des autres organisations européennes, a demandé à ce que le processus de consultation soit prolongé afin d'obtenir toutes les précisions et garanties qu'elle juge nécessaire à la formulation de son avis", écrit la CFE-CGC dans un communiqué. "(... ) un rendez-vous a d'ores et déjà été pris le 31 janvier prochain, date à laquelle le comité d'entreprise européen d'Alstom sera censé émettre un avis sur ce projet de rapprochement", ajoute le syndicat.

Comité D Entreprise Siemens Launches Selector Application

L'avis du comité de groupe européen, qui devait être rendu jeudi, est consultatif mais constitue un passage obligé vers la fusion entre les deux entreprises. "La CFE-CGC, à l'instar des autres organisations européennes, a demandé à ce que le processus de consultation soit prolongé afin d'obtenir toutes les précisions et garanties qu'elle juge nécessaire à la formulation de son avis", écrit la CFE-CGC dans un communiqué. "(... ) un rendez-vous a d'ores et déjà été pris le 31 janvier prochain, date à laquelle le comité d'entreprise européen d'Alstom sera censé émettre un avis sur ce projet de rapprochement", ajoute le syndicat. Alstom n'a pu être joint dans l'immédiat pour un commentaire sur cette information. La CFE-CGC déclare dans son communiqué que "si côté Alstom, la direction paraît jouer la transparence dans la communication des informations, il en est tout autrement du côté de Siemens qui justifie son mutisme par le fait que, jusqu'à la réalisation de l'opération, les deux groupes sont encore concurrents".

Comité D Entreprise Siemens Auto

Le dossier était au menu d'un petit-déjeuner de travail. Très remontée contre la direction d'Alstom, qui privilégie une reprise par le groupe américain General Electric, la délégation française a fait valoir l'intérêt de la constitution de champions européens dans l'énergie et les transports. Berlin n'est pas insensible à cet argument mais se préoccupe des questions d'emplois. Sur le papier, la firme française et le conglomérat bavarois ont de nombreux doublons: la construction de turbines ou encore les trains à grande vitesse. Dans l'éventualité d'un rapprochement « qui prendra les responsabilités, qui garantira les emplois? » dans la nouvelle architecture, interroge le porte-parole du comité central d'entreprise de Siemens, Peter Kropp. Ses inquiétudes portent surtout sur la branche ferroviaire, vilain petit canard du groupe allemand, offerte en échange de la reprise des activités énergie d'Alstom. Le syndicat IG Metall souhaite que Siemens, qui pourrait rester à actionnaire à hauteur de 19% du nouvel ensemble, garde une influence « prépondérante ».

Siemens fait part ce matin du prochain départ du président du comité central d'entreprise, Lothar Adler, à compter de fin mai 2014. M. Adler quittera à cette même date son poste au conseil de surveillance du conglomérat industriel allemand. Adler a annoncé qu'il quitterait son poste après avoir atteint la limite d'âge. Il renonce donc à étendre son contrat de travail comme il l'avait un temps envisagé. Le directeur général de Siemens, Joe Kaeser, a salué le travail effectué par Lothar Adler, "avocat convaincant et convaincu des intérêts des salariés du groupe". Premier président du syndicat IG Metall, Berthold Huber a déclaré que M. Adler "mérite beaucoup de respect de nous tous pour avoir défendu avec succès les intérêts des salariés'. Copyright (c) 2013 Tous droits réservés.

Alstom a confirmé mercredi qu'il comptait boucler fin 2018 la fusion avec l'activité ferroviaire de Siemens. (Dominique Rodriguez, édité par Véronique Tison) © Reuters 2018