Poème D'été

Attention Au Chien Humour

Fin d'été par Capella la brume des prés, blancheur des glaces, ne cesse l'été, le Soleil caresse, un pull de laine, chaleur des cimes, ta peau enfiévrée, de rayons tactiles, sentir le froid, bon air du soir, des granits encore chauds, fin de l'été. Poème posté le 29/10/17 Poète Capella Sa carte de visite Cliquez ici pour accéder à la carte de visite de l'artiste (Sa présentation et l'ensemble des ses créations)

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Poème D'été

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Poème D'été De Victor Hugo

Il me calme aussi quand je le relis. belle soirée michel Douceur dans tes soirs d'été cher poète, j'ai ressenti beaucoup de douceur et une touche de légèreté, bravo et merci pour ce joli partage. Bonne soirée Personne merci personne, mes douces soirées t'ont inspiré et j'en suis très heureux. C'est vrai qu'embrasser sous un pluie chaude, c'est très agréable. Oui je suis d'accord avec vous 6 Octobre 2018 Très bel écrit Michel. C'est dans la douceur des soirs d'été que s'éveille la promiscuité Amitié Impoésie Douceur et quiétude, un texte plein de tendresse. Poème d'être enceinte. Merci pour ce beau partage Michel Belle journée Pierre bonjour impoésie, c'est une douce chaude et orageuse matinée qui se trame. L'esprit est opportun avec ce poème et même si l'été est passé, on s'y croirait encore. merci pour votre message. belle journée Qu'elle belle image de l'apaisement dans les bras de sa moitié!! quel sublime poème!! kdo; bonne journée carlame bonjour carlame, merci pour le cadeau et l'appréciation. merci à vous pierre, toujours présent dans les lectures.

Poème D'être Enceinte

À VICTOR HUGO Tu l'as dit: C'en est fait; ni fuite ni refuge Devant l' assaut prochain et furibond des flots. Ils avancent toujours. C'est sur ce mot, Déluge, Poète de malheur, que ton livre s'est clos. Mais comment osa-t-il échapper à ta bouche? Ah! pour le prononcer, même au dernier moment, Il fallait ton audace et ton ardeur farouche, Tant il est plein d' horreur et d' épouvantement. Vous êtes avertis: c'est une fin de monde Que ces flux, ces rumeurs, ces agitations. Nous n'en sommes encore qu'aux menaces de l'onde, À demain les fureurs et les destructions. Déjà depuis longtemps, saisis de terreurs vagues, Nous regardions la mer qui soulevait son sein, Et nous nous demandions: « Que veulent donc ces vagues? On dirait qu' elles ont quelque horrible dessein. » Tu viens de le trahir ce secret lamentable; Grâce à toi, nous savons à quoi nous en tenir. Poème d'été de 2008. Oui, le Déluge est là, terrible, inévitable; Ce n'est pas l' appeler que de le voir venir.

Poème D'été De La Communication

Le soleil, sur le sable, ô lutteuse endormie, En l'or de tes cheveux chauffe un bain langoureux Et, consumant l'encens sur ta joue ennemie, Il mêle avec les pleurs un breuvage amoureux. Poème d'été. De ce blanc flamboiement l'immuable accalmie T'a fait dire, attristée, ô mes baisers peureux » Nous ne serons jamais une seule momie Sous l'antique désert et les palmiers heureux! » Mais la chevelure est une rivière tiède, Où noyer sans frissons l'âme qui nous obsède Et trouver ce Néant que tu ne connais pas. Je goûterai le fard pleuré par tes paupières, Pour voir s'il sait donner au coeur que tu frappas L'insensibilité de l'azur et des pierres. Stéphane Mallarmé

Poème D'été De 2008

228 poèmes < 28 29 30 32 33 Phonétique (Cliquez pour la liste complète): âne ânes ânon ânons énonça énonçai énonçais énonçait énonças énonçât énoua énouai énouaient énouais énouait énouant énouas énouât énoue énoué énouée énouées énouent énoues énoués énouions énouons hyène hyènes... Ô toison, moutonnant jusque sur l' encolure! Ô boucles! Ô parfum chargé de nonchaloir! Extase! Pour peupler ce soir l' alcôve obscure Des souvenirs dormants dans cette chevelure, Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir! La langoureuse Asie et la brûlante Afrique, Tout un monde lointain, absent, presque défunt, Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique! Comme d' autres esprits voguent sur la musique, Le mien, ô mon amour! Nage sur ton parfum. Poème : Sonnet d'été. J 'irai là-bas où l' arbre et l' homme, pleins de sève, Se pâment longuement sous l' ardeur des climats; Fortes tresses, soyez la houle qui m' enlève! Tu contiens, mer d' ébène, un éblouissant rêve De voiles, de rameurs, de flammes et de mâts: Un port retentissant où mon âme peut boire À grands flots le parfum, le son et la couleur; Où les vaisseaux, glissant dans l'or et dans la moire, Ouvrent leurs vastes bras pour embrasser la gloire D 'un ciel pur où frémit l' éternelle chaleur.

Nous habiterons un discret boudoir, Toujours saturé d'une odeur divine, Ne laissant entrer, comme on le devine, Qu'un jour faible et doux ressemblant au soir. Poème Fin d'été par Capella. Une blonde frêle en mignon peignoir Tirera des sons d'une mandoline, Et les blancs rideaux tout en mousseline Seront réfléchis par un grand miroir. Quand nous aurons faim, pour toute cuisine Nous grignoterons des fruits de la Chine, Et nous ne boirons que dans du vermeil; Pour nous endormir, ainsi que des chattes Nous nous étendrons sur de fraîches nattes; Nous oublirons tout, — même le soleil! Germain Nouveau