Ce 23 Décembre 2011 Danthony Fiche D Arrêt

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123-8 du code de l'urbanisme, n'a pas été mise en œuvre. Ce 23 décembre 2011 d'anthony fiche d arrêt l. D'une part, les modifications apportées au projet initial de schéma à l'issue de la première enquête ont justement pour objet de répondre aux interrogations et aux insuffisances pointées par les personnes publiques associées dans leurs avis sur la version initiale. Il ne ressort pas des pièces du dossier, ni n'est même allégué, que ces modifications soient insuffisantes pour répondre à ces avis. Dans ces conditions, l'absence de consultation des personnes publique associées n'a pu, en l'espèce, les priver d'une garantie, ni avoir une influence sur le sens de la décision prise par les auteurs du schéma de cohérence territoriale qui ne sont pas liés par la teneur des avis de ces personnes publiques associées. D'autre part, si l'article L.

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Par un arrêt du 7 février 2020 (CE, 7 février 2020, n°428625), le Conseil d'État est venu préciser la première condition. En effet, la Haute juridiction a rappelé le principe issue de son arrêt Danthony (CE, 23 décembre 2011, Danthony, n°335033) selon lequel « Si les actes administratifs doivent être pris selon les formes et conformément aux procédures prévues par les lois et règlements, un vice affectant le déroulement d'une procédure administrative préalable, suivie à titre obligatoire ou facultatif, n'est de nature à entacher d'illégalité la décision prise que s'il a été susceptible d'exercer, en l'espèce, une influence sur le sens de cette décision ou s'il a privé les intéressés d'une garantie ». Ainsi, en combinant les jurisprudences Ternon et Danthony, le Conseil d'État a conclu qu' « une décision créatrice de droits, entachée d'un vice qui n'a pas été susceptible d'exercer une influence sur le sens de cette décision et qui n'a pas privé les intéressés d'une garantie, ne peut être tenue pour illégale et ne peut, en conséquence, être retirée ou abrogée par l'administration de sa propre initiative ou sur la demande d'un tiers, même dans le délai de quatre mois suivant la prise de cette décision ».

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En pratique, cela signifie que l'administration ne pourra plus ni retirer ni abroger une décision entachée d'un vice de procédure qui n'est pas susceptible d'exercer une influence sur le sens de la décision ou qui n'a privé la personne concernée d'une garantie. En conséquence, si l'administration identifie un vice de procédure entachant une décision qu'elle souhaite retirer ou qu'un tiers lui a demandé de retirer, elle devra préalablement au retrait ou l'abrogation de cette décision, vérifier si cette irrégularité est de nature à entrainer son annulation au sens de la jurisprudence Danthony. Ce 23 décembre 2011 d'anthony fiche d arrêt m. Le cas d'espèce en est une parfaite illustration: la requérante demandait de suspendre l'exécution de l'arrêté par lequel Maire avait retiré l'arrêté par lequel elle avait été détachée dans l'emploi fonctionnel de directeur général des services. Selon les textes applicables au litige, le détachement d'un agent dans l'emploi de DGS devait intervenir après la consultation préalable de la commission administrative paritaire compétente.

Dans cet arrêt, le Conseil d'Etat rappelle qu'il résulte des articles L. 262-16 et L. 262-40 du code de l'action sociale et des familles (CASF) et L. 114-19 et L. Quelle application de la jurisprudence Danthony dans la fonction publique ?. 114-21 du code de la sécurité sociale (CSS) que les caisses d'allocations familiales (CAF) et les caisses de mutualité sociale agricole (MSA), chargées du service du revenu de solidarité active (RSA), réalisent les contrôles relatifs à cette prestation d'aide sociale selon les règles, procédures et moyens d'investigation applicables aux prestations de sécurité sociale. Au nombre de ces règles, procédures et moyens, se trouve le droit de communication instauré par l'article L. 114-19 du CSS au bénéfice des organismes de sécurité sociale pour contrôler la sincérité et l'exactitude des déclarations souscrites ou l'authenticité des pièces produites en vue de l'attribution et du paiement des prestations qu'ils servent. Ce pouvoir, rappelle le Conseil d'Etat, s'exerce avec quelques garanties procédurales pour les administrés, notamment en vertu de l'article L.