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Franceinfo a donné la parole aux 18-30 ans du 1er septembre jusqu'à l'élection présidentielle. Une semaine après le second tour, voici le bilan. Avec la chronique "Génération 2022 ", franceinfo a donné la parole, tous les jours, aux 18-30 ans pour reccueillir leurs préoccupations, leurs attentes et interroger leur rapport à la politique jusqu'à l'élection présidentielle. S'il est impossible de parler de "la jeunesse" ni même "des jeunes", car c'est une population loin d'être homogène, voici dans les grandes lignes ce que l'on peut retenir de ces huit mois de terrain. Une campagne en décalage avec leurs préoccupations Nous avons rencontré des jeunes critiques vis-à-vis du système politique actuel. Des jeunes désabusés, voire désenchantés par la politique, en tout cas par celle qui se fait dans les partis traditionnels. C est en septembre paroles au. Pourtant, ils ne se désintéressent pas de la chose publique et encore moins de leur avenir qui les préoccupe beaucoup. "L'écologie c'est souvent en fin de programme ou alors pour faire joli. "

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On sort de l'anonymat. Mais c'est un personnage fictif qui signifie « Dieu a aidé ». Tout un symbole! Mais Lazare est d'un autre monde, là où l'on manque de tout, y compris du nécessaire et même de l'indispensable. Tout comme cette femme indienne, de la catégorie des intouchables, qui a vendu son bébé pour 130 dollars après avoir vu son autre fils de deux ans mourir de malnutrition. L'argent de la vente a servi à éponger les dettes de la famille et à acheter de la nourriture. C est en septembre paroles 2017. Le riche n'a rien refusé à Lazare, il ne l'a pas chassé. Ce qui n'est pas toujours le cas. Mais il ne l'a même pas vu, dirait-on, comme s'il était aveugle et inconscient. Il y a comme un mur entre les deux, ou un grand abîme apparemment infranchissable. Pourtant, l'homme comblé, croyant, pratiquant, qui plus loin interpelle son père Abraham et qui se préoccupe avec beaucoup de cœur de ses cinq frères, aurait dû savoir que la loi de l'Alliance, dont il se réclame, et même aujourd'hui celle des droits et devoirs de la personne humaine, demande précisément de « rompre les chaînes injustes…, de partager le pain avec l'affamé, d'héberger les pauvres sans abri, de vêtir celui qui est nu ».

Il en est même accroupis le long de notre table, comme le disait déjà le Père Lebret il y a plus de cinquante ans. Aujourd'hui, ajoutait-il, Lazare, c'est la majorité de l'humanité, et il a beaucoup d'enfants. Il va bientôt devenir 80 ou 90% de la population du monde. Une menace pour notre paix et notre sécurité. Or, ce qu'il attend, c'est « de la compréhension et de l'amour ». C est en septembre paroles sur. Il nous appartient donc de faire, à tous les niveaux, un usage biblique, évangélique, de toutes nos richesses, y compris celles du cœur, de l'intelligence et de l'imagination. Elles nous pousseront à l'initiative, si modeste soit-elle, de manière à pouvoir « inviter des pauvres à notre table ». C'est-à-dire la table de la connaissance, la table de la culture, celle du progrès et du développement, celle des soins de santé et de la dignité respectée, tout comme la table des échanges commerciaux. N'attendons pas demain pour mieux servir Dieu en nos frères et sœurs éprouvés comme Lazare. P. Fabien Deleclos, franciscain (T) 1925 – 2008