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Les deux premiers mots et la phrase nominale qui suit font part de la soudaineté du surgissement de la mer bien sûr mais aussi de l'imagination du poète. Le poète ne prend pas le temps de construire une phrase pour livrer tous les éléments de cette irruption. L'allégorie empêche immédiatement de prendre dans un sens purement descriptif les éléments les plus simples. Le poème du vendredi- "Marseille" par Supervielle - Mirabelles et Lavande. De fait, les poissons de roche et les coquillages (vers 1) ne sont pas seulement aux étalages des marchés, ils sont en elle, comme si elle était la mer. Cette idée se construit progressivement, au gré de l'apparition des éléments qui appartiennent de plus en plus au milieu marin et qui sont de plus en plus étonnants dans l'ordre de la raison: - l'iode (vers 1), certes élément du milieu méditerranéen, mais également présent dans l'air en bord de mer (... ) Sommaire Introduction I) Une "photographie" de la ville de Marseille A. Une ville portuaire B. Une agitation heureuse mais inquiétante II) La dimension symbolique du poème A.

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Figures Je bats comme des cartes Malgré moi des visages, Et, tous, ils me sont chers. Parfois l'un tombe à terre Et j'ai beau le chercher La carte a disparu. Je n'en sais rien de plus. Marseille supervielle texte paris. C'était un beau visage Pourtant, que j'aimais bien. Je bats les autres cartes. L'inquiet de ma chambre, Je veux dire mon coeur, Continue à brûler Mais non pour cette carte Q'une autre a remplacée: C'est nouveau visage, Le jeu reste complet Mais toujours mutilé. C'est tout ce que je sais, Nul n'en sait d'avantage. Non renseigné Hommage à la vie C'est beau d'avoir élu Domicile vivant Et de loger le temps Dans un coeur continu, Et d'avoir vu ses mains Se poser sur le monde Comme sur une pomme Dans un petit jardin, D'avoir aimé la terre, La lune et le soleil, Comme des familiers Qui n'ont pas leurs pareils, Et d'avoir confié Le monde à sa mémoire Comme un clair cavalier A sa monture noire, D'avoir donné visage À ces mots: femme, enfants, Et servi de rivage À d'errants continents, Et d'avoir atteint l'âme À petits coups de rame Pour ne l'effaroucher D'une brusque approchée.

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Marseille, Jean-Claude IZZO. Edition Hoëbeke, 2000 QUESTIONS ( 15 points) I - L'expression de soi ( 7, 5 points) 1. a) Relevez les pronoms personnels sujets dans le premier paragraphe. b) Dites à qui renvoie chacun d'eux. ( 1, 5 point) 2. Quel est le pronom personnel dominant dans le texte? ( 0, 5 point) 3. Réécrivez la phrase " Ici, celui qui débarque un jour sur le port, il est forcément chez lui. " en changeant la construction pour qu'elle appartienne à un registre de langue plus soutenu. ( 1 point) 4. a) Expliquez le sens de l'adjectif " familier ". Marseille supervielle texte mon. b) Relevez un nom de la même famille dans la suite du texte. ( 1, 5 point) 5. "Je crois à cela, à ce que j'ai appris dans les rues de Marseille, et qui me colle à la peau: l'accueil, la tolérance, le respect de l'autre, l'amitié sans concession et la fidélité, cette qualité essentielle de l'amour. " a) Identifiez les temps des verbes de la phrase. b) Justifiez leur emploi. ( 2 points) 6. A quel genre littéraire peut-on rattacher ce texte?
L'énumération de verbe d'action « prend à partie » v10, « bouscule » v10, « pousse » v11: montre l'agitation que provoque le soleil, il violente les Marseillais dans la rue et les repousses sur les jolies filles. Uniquement disponible sur

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Une ville vivante… « Raisonnements » (QUOI? ) « Preuves » et procédés (COMMENT? ) Conclusions (POURQUOI CELA? COMME CELA? )

Marseille, c'est ma culture du monde. Ma première éducation du monde. C'est par ces routes de navigation anciennes, vers l'Orient, l'Afrique, puis vers les Amériques, ces routes réelles pour quelques-uns d'entre nous, rêvées pour la plupart des autres, que Marseille vit, où que l'on aille. Paris est une attraction. Marseille est un passeport. Marseille, Jules Supervielle - Commentaire de texte - bleusor coc. Quand je suis loin, et cela m'arrive souvent, je pense à Marseille sans nostalgie. Mais avec la même émotion que pour la femme aimée, délaissée le temps d'un voyage, et que l'on désire de plus en plus retrouver au fur et à mesure que passent les jours. Je crois à cela, à ce que j'ai appris dans les rues de Marseille, et qui me colle à la peau: l'accueil, la tolérance, le respect de l'autre, l'amitié sans concession et la fidélité, cette qualité essentielle de l'amour. (... ) J'aime croire - car j'ai été élevé ainsi - que Marseille, ma ville, n'est pas une fin en soi. Mais seulement une porte ouverte. Sur le monde, sur les autres. Une porte qui resterait ouverte, toujours.