Les Sept Nains Poésie

Dans Got Il Ne Sait Rien
C'étaient d'anciens jockeys de course Qu'on avait nommés les Sept Nains. Ils perdaient toutes leurs ressources, Ces sept petits (autrement sages), A l'hippodrome, en misant sur Les chevaux et les attelages. Comm' quoi, quand leur jour était dur, Ils restaient sur leur faim, plus tard – C'était un vice bien choquant. Alors, Blanche-Neige dit, un soir Qu'ils rentraient à nouveau perdants, « J'ai eu l'idée qu'il nous fallait Et qui résoudra tout souci De sous, si vous le voulez – mais, En attendant, sont interdits Les paris – entendu? » Les Nains (Qui aimaient presque autant la bouffe Que jouer) dirent, « D'ac » enfin – Et elle, pour sa part, dit, « Ouf! Les sept nains poésie théâtre ici. » Ce soir-là, poursuivant sa quête, Blanche-Neige revint au château Et attendit en sa cachette Que tout le monde fît dodo, Puis – quoiqu'elle avait beaucoup peur D'être à tout instant découverte – Se faufila (sentant son coeur Marteler) dans la cour déserte, Tout comme un papillon de nuit (Et, à propos, je te rappelle, Lya, que lorsque tu l'écris, Les papions ont tous deux ailes) – Mais je reprends: Donc, du domaine, Elle entra, suivit le couloir Menant au bureau de la Reine, Et là, s'empara du Miroir!

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» demanda-t-il, « Combien? » Un instant réfléchit le Rat, Puis, « En effet, ce n'est qu'un rien – Disons, le prix de dix repas. » Ce fut payé (ce qui rendit Tout à fait dénuée la bourse Du Lièvre) puis l'on attendit, Le lendemain matin, la course. Dès l'aube, on voyait des badauds Qui fourmillaient sur le chemin Depuis le départ (château d'eau) Jusqu'à la fin, près du moulin – Tous venus assister à cet Évén-e-ment de la saison – Les Musaraignes, les Belettes, Les Campagnols, les Hérissons, Vêtus de leurs meilleurs habits, Ils pique-niquaient en attendant – Sans oublier le Rat qui, lui, Attendait aussi son moment, Muni d'un petit sac de clous Qu'il déversa sur la chaussée – Puis trouva dans la haie un trou Qui convenait pour se cacher. Les sept nains poésie et citations. Un beau Renard, qui gérait tout, Cria aux deux compétiteurs, « À vos marques! Préparez-vous! » Et, entouré de spectateurs Devenus enfin silencieux, Sortit un très vieux pistolet, Le leva tout haut et fit feu, Pour dire aux deux rivaux, « Partez! » Le Lièvre, lui, prit le devant Au début, mais fut ratrappé – N'ayant pas de moteur dedans, Il demeurait handicapé.

En fait le nanisme en partie limité Employé nuitamment devint prospérité. Blanche neige un beau jour allant aux champignons Rencontra une jeune homme qui avait du pognon Et se dit il est beau pour me changer des nains Voyons comment il fait le bonheur féminin Et la concupiscence étant dans une urgence Ils s'entrecoquinèrent sans la moindre décence. Hélas il était seul et ayant bien servi Le désir féminin fut à peine ravi Car sept fois la nuit par les nains honorée La belle se trouva bien trop peu adorée Avec la performance de son nouvel amant Qui après quatre assauts terminait en dormant. Les sept nains poésie francais. Et c'est ainsi, hélas, qu'avant tout mariage Blanche Neige divorça sans se mettre en ménage. Les nains congestionnés par son soudain départ Reprirent l'habitude de leurs tendres égards Payant en pierres exquises les nocturnes passages Où la dame jamais ne put manquer d'hommages. On dit mais est-ce vrai qu'à la place Vendôme Avec elle un jouailler voulut faire un binôme Blanche Neige des bijoux devenant fanatique Accepta de l'hymen la bague tyrannique, Mais faisant chambre à part elle recevait la nuit Des voisins pas très grands lui évitant l'ennui Et vivant des cailloux fruits d'une belle mine Les nains en doux voisins visitait la gamine Ils vécurent à Paris retraités mais actifs Compensant les époux, aux étreintes, rétifs Car le jour n'ayant rien de séduisant à faire Ils cherchaient les gourmandes aimant se satisfaire.

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La dame était de loin la plus Belle parmi les candidates (Pour lui accorder tout son dû). – La beauté masquait une blatte. Elle avait une voix de pierre, Qui trahissait que sous la peau, Et au-delà les yeux de verre, Ce beau corps n'était… qu'un corbeau. Poésie CE2: Les sept nains - Moyenne Section. Ce qu'avait possédé sa mère Aurait dû passer à Blanche-Neige – Ce qui n'empêcha pas son père (Entravé dans le sortilège) De tout donner à l'autre, inclus Son trésor le plus précieux même – Un miroir magique, conçu Pour résoudre tous les problèmes: Demande-lui n'importe quoi – La réponse était toujours prête: « Ô Miroir, dites, qu'est-ce qu'on doit » (Pour donner un exemple bête) « Manger à midi aujourd'hui? » En un clin d'oeil il répondrait, « Le plat sera des oeufs au riz, » Et jamais ne se tromperait. Du coup, la question que la Reine Lui posait chaque jour sans faille (Car c'était une femme vaine Avec le cerveau d'une caille) C'était toujours la même chose: « Ô Miroir, Miroir, je t'écoute, » Croassait-elle, et puis, sans pause, « C'est qui, la plus jolie de toutes?

Lorsqu'elle freinait, la Tortue Poussait des bruits perçants des fesses, Et de la fumée de son cul Quand elle changeait de vitesse; En effet, c'était un spectacle, Un happening exceptionnel, Un phénomène, un gros miracle – « Je vais gagner! » s'écria-t-elle; « Eh non! » répliqua Ludovic, « Le Rat l'empêchera pour moi! » – Sur quoi, en fait, les pneumatiques Crevèrent, les quatre à la fois. Nos poesies - Moyenne Section. La Tortue était donc contrainte De s'arrêter, n'en pouvant plus. Le Lièvre, lui, noyait ses plaintes En criant, « Je prends le dessus! » Mais, ce disant, il oubliait Les clous qu'avait semés le Rat – Quoiqu'à l'instant qu'il la doublait, Bien vite il se les rappela… Ses patt's étaient piquées partout, Donc lui aussi dut s'arrêter. Tous deux en panne avec les clous, C'était match nul, égalité; Et entretemps, ce Rat diable Rentra pour compter son argent – Après sa journée profitable, Il en avait bien plus qu'avant. Je te conseille donc, l'enfant: Que cette triste histoire sert De leçon – dis à tes parents (Qu'ils soient reptil's ou mammifères) Qu'en fin de compte, tu préfères Qu'ils ne se trouv'nt en pareil cas Avec notre ami, Monsieur Rat; Dis à ton père et à ta mère, Qu'ils évitent les rats d'affaires.

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Elle attendait le soir – le Lièvre Était en train de repousser Sa chaise, en s'essuyant les lèvres, Lui ayant tout volé à T. « Athée! » criait-t-elle, « Tu es Un saltimbanque, un parvenu! Blanche-Neige et les Sept Nains – Poésie Fertile. » De dix-sept plats, il chipait seize, Et puis laissait la nappe nue. Pour elle, c'était du pain sec Et parfois une goutte d'eau: Du melon et de la pastèque Ne restait jamais que la peau; Les choux étaient tous chouravés, De navets, on n'en avait plus, La mâche était toujours mâchée, Les poireaux déjà dispoirus – C'était vraiment insupportable. Thérèse ourdit donc un complot: Le croisant à nouveau à table, Elle lui dit, « Monsieur, allô – Est-ce que cela vous tenterait, Un pari sportif, vous et moi? Le lièvre qui refuserait N'a jamais existé, je crois. » « Je dois confesser que je fais Le tiercé, deux-trois fois par mois, » Répondit-il, « Et il serait, Ce pari, à propos de quoi? » « J'ai l'idée, » dit-elle, « De faire Entre nous deux, la course – alors, Il doit payer, celui qui perd, Un forfait au gagnant – d'accord?

» « Ecoutez seul'ment mon idée! » Dit la Tortue, « Et dites-moi Après, ce que vous en pensez, Et si on peut y prêter foi: Je veux que vous me fournissiez Une petite auto de race, Et qu'ensuite, vous la vissiez En secret, sous ma carapace, De sorte que nul ne saura – Et surtout pas ce Ludovic – Que j'ai un moteur – Monsieur Rat, La ruse doit être hermétique! » Régis demeura ébahi, S'écriant, « Madame, à votre âge, Je ne vous aurais pas prédit Autant de lumière à l'étage! Ce sera fait dès aujourd'hui, La livraison demain matin (Du moment, bien sûr, que le prix En tout point à tous deux convient). » Leur marché une fois conclu, Thérèse paya en liquide (Régis de dire, « Ainsi c'est plus Commode, et nett'ment plus rapide, Sans y mêler le gouvern'ment »). Il attendit un instant, qu'elle S'éloignât, puis, téléphonant, Dit, « Ludovic! – j'ai des nouvelles Qui t'intéresseront, je crois, Au sujet d'un petit complot Que l'on a tramé contre toi; Veux-tu en entendre deux mots? Je dois d'avance t'avertir: Ce service est payant, tu sais – Pour savoir ce que j'ai à dire, Il faudra compenser mes frais.