Le Monde D Hier Theatre
Le Monde D Hier Theatre New York
Le Monde d'hier est sa dernière œuvre. Livre magistral, envoyé par Zweig à son éditeur la veille de sa mort, il retrace « l'âge d'or » de l'Europe et sa fin, et éclaire l'histoire culturelle et politique du XX e siècle. Jérôme Kircher Jérôme Kircher a été formé au Conservatoire de Paris. Le Monde d'hier - Spectacles dans le Grand Paris - Télérama Sortir Grand Paris. On a pu le voir dans de nombreuses mises en scènes de Bernard Sobel, André Engel, Jean-Pierre Vincent… En 2011 au TNP, sous la direction de Christian Schiaretti, il a interprété le rôle de Don César dans Ruy Blas. Plus récemment, il a joué avec André Engel, La Double mort de l'horloger de Ödön von Horváth, Luc Bondy, Le Retour de Harold Pinter, Emmanuel Meirieu, Des hommes en devenir, Guy Cassiers, La petite fille de monsieur Linh d'après Philippe Claudel. Il a mis en scène L'Époustouflante performance de Madame Berthe Trépat, avec Irène Jacob et le pianiste Benoît Delbecq et, avec les mêmes interprètes, Je sais qu'il existe aussi des amours réciproques, une libre adaptation de Gros câlin de Romain Gary.
Le Monde D Hier Theatre.Com
Des comédiens alors inconnus, comme Camille Cottin, Pierre Niney, Jonathan Cohen, Sara Giraudeau, etc., ont aussi participé à l'aventure. « Créer, inventer, mélanger les genres, les personnalités, les âges, c'est l'ADN du festival », résument les organisateurs. Effet de surprise Cette année, sur plus de deux cents propositions, seize ont été retenues. Le monde d hier theatre.com. Chaque soir, cinq d'entre elles sont jouées, espacées de petits entractes pour les changements de décor. Le spectateur pioche à sa guise et vient à l'heure de son choix. Le rythme de la soirée et l'effet de surprise suscité par les changements d'univers, qui donnent à chaque fois l'impression d'être à une avant-première, font qu'on ne s'ennuie jamais. Trente minutes, cela peut être agréablement frustrant quand le spectacle est bon, ou simplement suffisant quand pointe le sentiment que tout a été raconté. Inventif et absurde à souhait, « Envole-moi, envole-moi, envole-moi », de Marie-Julie Baup, nous a régalés Le soir où nous y étions, il a été question d'amitié perdue, de rêves abandonnés, d'amour impossible, d'émancipation familiale, de pétage de plombs… Du bureau d'une professeure principale à un appartement en haut d'une tour, d'une maison où une mère se meurt à un repas glacial de belles-familles, les créations, réunissant de deux à neuf personnages, jouent sur tous les registres, du comique au dramatique.
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