Poésie Le Monstre

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À cet être doué de tant de majesté Vois quel charme excitant la gentillesse donne! Approchons, et tournons autour de sa beauté. Ô blasphème de l'art! Ô surprise fatale! La femme au corps divin, promettant le bonheur, Par le haut se termine en monstre bicéphale! Mais non! Ce n'est qu'un masque, un décor suborneur, Ce visage éclairé d'une exquise grimace, Et, regarde, voici, crispée atrocement, La véritable tête, et la sincère face Renversée à l'abri de la face qui ment. Le Monstre, Paul Verlaine. Pauvre grande beauté! Le magnifique fleuve De tes pleurs aboutit dans mon cœur soucieux; Ton mensonge m' enivre, et mon âme s' abreuve Aux flots que la douleur fait jaillir de tes yeux! - Mais pourquoi pleure-t-elle? Elle, beauté parfaite Qui mettrait à ses pieds le genre humain vaincu, Quel mal mystérieux ronge son flanc d' athlète? - Elle pleure, insensé, parce qu'elle a vécu! Et parce qu'elle vit! Mais ce qu'elle déplore Surtout, ce qui la fait frémir jusqu 'aux genoux, C 'est que demain, hélas! Il faudra vivre encore!

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Pas de dérogation ici, on sait tous être sévèrement burnés, éparpiller façon puzzle, balancer la purée, les gnons et les mandales aux vandales. Toute castagne est bonne à l'homme des cavernes qui sommeille à peine en nous dès qu'il s'agit de fuir l'ennui du casernement. A quoi ça servirait sinon que les trouvères, les aèdes, les bardes se cassent le tronc à composer des chansons de geste, des épopées de plus de mille vers, des Iliades, des Odyssées, des chansons de Roland qu'on accompagne au synthé? Autant faire accroire que Poutine est fou et que c'est à reculons qu'il envahit un pays voisin qui, tiens donc, est leader en exportation de blé et autres denrées nécessaires. Elle est verte, elle est verte, l'herbe du voisin! Poésie le monstre les. Qui y croirait un seul instant au pacifisme effréné des militaires, au « Tu ne tueras point » des mercenaires, au « Je peux pas j'ai poney » de légionnaires devenus soudain pleutrissimes? « Du sang, du sang, du sang! » crie-t-on peut-être encore à la moindre bagarre dans les cours des collèges et lycées de notre république!

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I. Tu n'es certes pas, ma très-chère, Ce que Veuillot nomme un tendron. Le jeu, l'amour, la bonne chère, Bouillonnent en toi, vieux chaudron! Tu n'es plus fraîche, ma très-chère, Ma vieille infante! Et cependant Tes caravanes insensées T'ont donné ce lustre abondant Des choses qui sont très-usées, Mais qui séduisent cependant. Je ne trouve pas monotone La verdure de tes quarante ans; Je préfère tes fruits, Automne, Aux fleurs banales du Printemps! Poésie le monstre de. Non! tu n'es jamais monotone! Ta carcasse à des agréments Et des grâces particulières; Je trouve d'étranges piments Dans le creux de tes deux salières; Ta carcasse à des agréments! Nargue des amants ridicules Du melon et du giraumont! Je préfère tes clavicules À celles du roi Salomon, Et je plains ces gens ridicules! Tes cheveux, comme un casque bleu, Ombragent ton front de guerrière, Qui ne pense et rougit que peu, Et puis se sauvent par derrière, Comme les crins d'un casque bleu. Tes yeux qui semblent de la boue, Où scintille quelque fanal, Ravivés au fard de ta joue, Lancent un éclair infernal!

Et, quand je m' ennuierai de ces farces impies, Je poserai sur lui ma frêle et forte main; Et mes ongles, pareils aux ongles des harpies, Sauront jusqu 'à son cœur se frayer un chemin. Comme un tout jeune oiseau qui tremble et qui palpite, J' arracherai ce cœur tout rouge de son sein, Et, pour rassasier ma bête favorite, Je le lui jetterai par terre avec dédain! Poésie le monstre et. Vers le ciel, où son œil voit un trône splendide, Le poète serein lève ses bras pieux, Et les vastes éclairs de son esprit lucide Lui dérobent l' aspect des peuples furieux: - Soyez béni, mon Dieu, qui donnez la souffrance Comme un divin remède à nos impuretés Et comme la meilleure et la plus pure essence Qui prépare les forts aux saintes voluptés! Je sais que vous gardez une place au poète Dans les rangs bienheureux des saintes légions, Et que vous l' invitez à l' éternelle fête Des trônes, des vertus, des dominations. Je sais que la douleur est la noblesse unique Où ne mordront jamais la terre et les enfers, Et qu'il faut pour tresser ma couronne mystique Imposer tous les temps et tous les univers.

Publié le 23 octobre 2015 par Natsuki Cycle I / cycle II La grosse bête Marie Tenaille Le monstre biscornu Corinne Albaut Le monstre Andrée Marquet Le monstre Corinne Albaut Les monstres bizarres Corinne Albaut L'ogre des bois Corinne Albaut Cycle II / cycle III L'ogre des bois Corinne Albaut