Porte Ouverte Flyer | Article 394 Du Code De Procédure Civile

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et surtout qu'il peut être lu à partir de n'importe quel smartphone ou Iphone bien entendu, en téléchargeant une petite application qui permet de scanner puis de « traduire » le code. Ces « applis » sont pour la plupart gratuites. Les applis Android Les applis Iphone En quoi le QR Code peut-il être utile sur un flyer?

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Le Conseil constitutionnel déclare l'article 394 du code de procédure pénale, qui ne prévoit pas que le prévenu traduit devant le juge des libertés et de la détention doit être informé de son droit de se taire, non conforme à la Constitution. Cette question prioritaire de constitutionnalité (QPC) concerne la procédure de convocation par procès-verbal devant le tribunal correctionnel. Elle porte sur la deuxième phrase du troisième alinéa de l'article 394 du code de procédure pénale dans sa rédaction résultant de la loi du 23 mars 2019. En application de ce texte, lorsque le juge des libertés et de la détention est appelé à statuer sur le placement du prévenu sous contrôle judiciaire ou assignation à résidence: « ce magistrat peut, après audition du prévenu, son avocat ayant été avisé et entendu en ses observations, s'il le demande, prononcer l'une de ces mesures dans les conditions et suivant les modalités prévues par les articles 138, 139, 142-5 et 142-6 ». En l'espèce, le requérant constate que le texte est silencieux sur l'information du prévenu au sujet de son droit de garder le silence lorsqu'il est traduit devant le juge des libertés et de la détention.

Article 394 Du Code De Procédure Civile Vile Suisse

Cour d'appel de Rouen, Chambre correctionnelle, 10 septembre 2008, n° 08/00059 […] RAPPEL DE LA PROCÉDURE Prévention A la requête du Ministère Public, M. Y A a été convoqué par procès-verbal du 13/07/2007 en application de l'article 394 du code de procédure pénale.

En outre, le fait que le magistrat invite le prévenu à présenter ses observations peut lui laisser croire qu'il ne dispose pas du droit de se taire, ce qui peut ensuite être lourd de conséquences pour l'intéressé, étant précisé que ses observations sont susceptibles d'être portées à la connaissance du tribunal correctionnel. Ce faisant, au motif que l'article 394 du code de procédure pénale ne prévoit pas que le prévenu traduit devant le juge des libertés et de la détention doit être informé de son droit de se taire, le Conseil constitutionnel déclare ce texte contraire à la Constitution. L'abrogation du texte est reportée au 31 mars 2022. Pragmatique, le Conseil constitutionnel précise qu'afin de faire cesser cette inconstitutionnalité et jusqu'à l'entrée en vigueur d'une nouvelle loi ou jusqu'à la date de l'abrogation, le juge des libertés et de la détention doit désormais informer le prévenu qui comparaît devant lui de son droit de se taire. Cette QPC vient ainsi s'ajouter à la liste déjà longue de revers essuyés par le législateur au sujet des dispositions de la très controversée loi du 23 mars 2019.