Tu Honoreras Ton Père Et Ta Mère

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Il a mis fin à ses jours. Il a déshonoré sa mère. Il a écourté sa vie. Vivre longtemps sur terre, c'est bien. Vivre heureux et longtemps, c'est encore mieux. Et cela est possible si et seulement si les enfants prennent l'engagement d'honorer leurs parents, en tout lieu, en toute circonstance et à tout moment. Tu honoreras ton père et ta mère - Dérives dans l'eglise catholique. Voici une recette à la portée de nos enfants. A chacun d'eux et à tous, je conseille de s'en approprier.

Tu Honoreras Ton Père Et Ta Mère Au Foyer

Le Compendium les fixe à propos de ce même quatrième commandement (n° 460-461). Mais prends bien garde: nous sommes souvent tentés de voir la paille dans l'œil du prochain et pas la poutre dans le nôtre. Ne juge pas trop vite. N'oublie pas surtout la raison profonde de ton devoir de piété envers tes parents. C'est elle qui nous oblige à dépasser ce qu'il pourrait y avoir parfois de légitime dans nos révoltes. Nous ne sommes pas, vis-à-vis de nos parents, sur un pied d'égalité. Il y a « x » années, tu n'existais pas. Ils t'ont transmis la vie, avec tout ce qui était nécessaire pour qu'elle dure et s'affermisse jusqu'à l'âge d'homme: nourriture, logement, éducation et, s'ils sont chrétiens, la vie divine en te faisant baptiser. Jamais tu ne pourras leur rendre tout ça. Dieu veut du moins que tu leur marques par ton affection et ta reconnaissance que tu n'es pas un ingrat. Tu honoreras ton père et ta mère e. — C'est vrai, mon Père, ça devrait aller de soi. Alors pourquoi est- ce en fait si difficile? Je sens tellement de résistances qui m'empêchent d'être reconnaissant.

Il énumère une liste de choses donnée en omettant que l'amour et l'attention sont les ingrédients premiers du tissage de la relation parent/enfant. Le parent a donné et il ne peut rien en attendre en retour, sans quoi cela s'apparente à un prêt avec intérêt. Honore ton père et ta mère : droit ou mérite ? – Armand Shneor - Psychologue Clinicien. L'enfant n'a pas été consulté avant d'être mis au monde, il revient donc aux géniteurs de conscientiser que le don de la vie n'est pas une fin en soi, mais le début d'un processus visant à octroyer le soin et l'accompagnement nécessaires pour permettre le développement de l'enfant jusqu'à l'âge adulte. Le code moral, considère que l'enfant est redevable vis-à -vis de ses géniteurs par la voie de l'honneur et du respect, une façon de reconnaitre peut-être que la vie octroyée est un bien précieux et se passe de consentement, mais requiert en retour juste de la reconnaissance envers ceux qui l'ont donné? Or, le parent qui ternit l'existence de son enfant, que pourrait-il lui devoir en retour, constatant que sa vie est un enfer et qu'elle n'est en rien un cadeau?