Ravitaillement Course À Pied

Attestation Séparation De Fait

D'ailleurs sur une telle distance les ravitaillements personnels sont rarement utiles sauf bien entendu pour les ultras débutants pour qui l'effort peuvent dépasser l'heure. Auquel cas les ravitaillements de l'organisation sont insuffisants en fréquence. Sur un marathon, l'intensité est moindre et la durée de l'effort nécessite non seulement de s'hydrater mais aussi veiller à ce que les réserves énergétiques restent suffisantes aussi l'absorption de sucres rapides et lents sont nécessaires pour éviter le mur ( zone où les stocks de glycogènes sont à plat et où la baisse de régime affecte grandement la performance). Ravitaillement course à pied. Le choix d'aliments solides peut donc être envisagé car l'intensité de l'effort moindre va permettre une mastication et une digestion plus réalisable à ce niveau. Règle 3: Le ravitaillement personnel et celui de la course doivent se compléter: La stratégie de course est en marche! De manière optimale, il faut que « ravitaillements personnels » et « ravitaillements proposés par la course » se complètent.

  1. Ravitaillement Marathon/Semi - Conseils Course à Pied

Ravitaillement Marathon/Semi - Conseils Course À Pied

Ce qui permet alors de partir léger et de ne pas se sur-charger. D'où l'importance de bien se renseigner pour connaître la fréquence des ravitaillements de l'organisation. La combinaison des deux intervient aussi dans une alimentation de course au moment opportun pour maintenir le niveau d'énergie. Sur un ultra trail, en connaissance des difficultés que l'on va rencontrer entre deux ravitaillements de l'organisation on peut en déduire un temps moyen et donc au vu de cette durée on va devoir s'alimenter avec ses propres réserves de ravitaillement pour rester au top. Donc finalement les ravitaillements ne s'improvisent pas mais se préparent comme une stratégie! Ravitaillement Marathon/Semi - Conseils Course à Pied. Règle 4: Pas d'expérience nouvelle le jour de la course Il est évident que les expériences alimentaires le jour de la course sont risquées, autant elles peuvent vous réussir comme vous mener à un inconfort digestif. Combien la veille de la course écoutent les habitudes alimentaires de divers coureur et tente de bonne foi de les imiter pour s'approprier le secret de leur réussite et se retrouvent en fâcheuse posture le jour J.

Pour résumer, courez avec 500mL sur vous (porte bidon ou porte fioles), buvez un peu tous les kms, rechargez quand nécessaire aux ravitaillements. Evitez au maximum les gels qui sont pour moi de gros générateurs de troubles digestifs. Etant présent à l'Ironman de Nice 2015 (pour suivre les athlètes et non en participant), j'ai été étonné du faible nombre de personnes utilisant ce système. C'est un poids, c'est clair, mais le bénéfice gain vs contrainte est juste énorme! Faites le test, vous verrez et pour information, les retours sur les sportifs(ves) que je suis est excellent. Focus sur les ravitaillements lors de température élevée Une boisson énergétique isotonique est intéressante lorsqu'il fait max 20-22°C ou moins (seuil de neutralité thermique), au-dessus de ces températures (à Nice en 2015, il faisait 34°C! ), votre boisson doit être HYPOTONIQUE, c'est à dire que vous devez mettre plus d'eau que ce qui est indiqué. Exemple, votre boisson isotonique est pour 3 cuillères pour 500mL, dans ce cas, mettez par exemple 2 cuillères dans 500mL, à adapter en fonction de chaque triathlète.