Stéphanie Lemoine Journaliste

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Elle collabore depuis plusieurs années avec Graffiti Art Magazine. Stéphanie Lemoine est journaliste et collabore notamment à L'Œil et au Journal des arts. Elle s'intéresse aux liens entre art, espace public et nouvelles technologies. Elle a consacré divers ouvrages à l'art urbain, dont In situ (2005, Alternatives), Artivisme (2010, Alternatives) et L'art urbain, du graffiti au street art (Découvertes, Gallimard, nouvelle édition 2020). [Source: communiqué de presse]

Stéphanie Lemoine Journaliste Du Monde

Elle souligne également que son « évolution offre à une pratique longtemps vouée aux marges la reconnaissance qu'elle mérite ». En effet, né dans les années 1960 de part et d'autre de l'Atlantique, porté par une poignée d'artistes, l'art urbain a réussi à traverser le temps. Il est aussi bien l'héritier de la publicité et de la société de consommation que des avant-gardes politiques et de toutes formes d'expressions populaires jusqu'à l'émergence d'un « street-art planétaire » porté par Internet et les réseaux sociaux. Toutefois, l'art urbain demeure à jamais « une échappée hors de tous les cadres, un jeu avec les limites, une transgression et 'un beau crime' », comme l'évoque la journaliste. Une collection qui porte cet art Grâce à son écriture vivifiante, Stéphanie Lemoine gagne le pari de vulgariser subtilement ce mouvement. Publié sous la mythique collection « Les Découvertes Gallimard », L'art urbain. Du graffiti au street art fait partie de ces livres précieux qui offrent une mine d'informations à grand renfort d'illustrations (identité puissante de cette collection).

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Stéphanie Lemoine, journaliste et spécialiste de l'art urbain, a publié de nombreux ouvrages, dont In situ. Un panorama de l'art urbain de 1975 à nos jours (avec Julien Terral, Alternatives, 2005), Artivisme. Art, action politique et résistance culturelle (avec Samira Ouardi, Alternatives, 2010) et L'Art urbain. Du graffiti au street art (Découvertes Gallimard, 2012). Partager via Facebook Partager via Twitter Partager via Pinterest Partager par Mail Imprimer la page Les livres de Stéphanie Lemoine

«Cela permet de diffuser des opinions, des idées. » Le classique jeu du recouvrement: un an et demi plus tard, en juillet 2017, le graffiti «Break down the wall» est toujours là mais agrémenté de tags et de nouvelles créations. Petros Karadjias/AP • Les rues du Caire pendant les Printemps arabes Ce n'est pas un mur frontalier à proprement parler, mais bien un exemple supplémentaire du réflexe artistique que suscite l'érection d'un mur. Près de la place Tahrir, en 2012, les autorités égyptiennes ont érigé plusieurs murs en différents endroits de la ville pour bloquer les axes menant à la place où se réunissaient les manifestants. Des manifestants et artistes s'en sont servis comme d'une toile. Rue Qasr Al-Aini, en mai 2012. Stringer. /REUTERS Près de la place Tahrir en novembre 2012. Asmaa Waguih/REUTERS De façon générale, «certains artistes utilisent le trompe-l'œil pour figurer un mur brisé, ébréché, une fenêtre dans le béton. Dans ces cas là, on peut dire qu'il y a une tentative de destruction, au moins métaphorique», relève Clémence Lehec.