Ligue Des Champions. Victoire Phénoménale Du Wydad Face À Al Ahly: Picasso Et Les Maitres Espagnols

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Publié le: 30/05/2022 – 22:58 Modifié le: 30/05/2022 – 23:21 Porté par un public incandescent, le Wydad Casablanca a privé Al Ahly d'une troisième Ligue des champions d'Afrique d'affilée, lundi 30 mai, en l'emportant deux buts à zéro face à des Égyptiens peu inspirés. Héros du match, l'international marocain Zouheir El-Moutaraji, auteur d'un doublé, a inscrit l'un des plus beaux buts de l'année lors de cette finale. Le Wydad Casablanca est-il la bête la noire d'Al Ahly? Après avoir battu le club égyptien en 2017, les Marocains ont de nouveau jouer un mauvais tour au double tenant du titre et titan du football africain, lundi 30 mai, en l'emportant deux buts à zéro lors de la finale de la Ligue des champions d'Afrique, au stade Mohammed V de Casablanca. Loge de gardiennage et de sécurité. Favori de la rencontre, le club cairote, confisque pourtant le ballon en début de rencontre. Mais leurs tentatives pour alerter le buteur sud-africain, Percy Tau, font le bonheur de la défense marocaine qui ratisse les ballons et procèdent en contre.

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De son côté, Al-Ahly voit l'espoir d'un triplé historique s'envoler en fumée. Avec cette victoire, le Wydad remporte la troisième C1 de son histoire et pourrait même étoffer encore son armoire à trophées cette saison. Leaders de l'élite marocaine, les joueurs du WAC ont également rendez-vous avec le Raja Casablanca, leur grand rival, en quart de finale de la Coupe du Trône. Avec France 24

Quant aux 5 000 supporters égyptiens qui ont fait le déplacement, ils ont bien du mal à se faire entendre. Piqués au vif par cette ouverture précoce du score, les joueurs de Pitso Mosimane tentent de reprendre les choses en main en posant le pied sur le ballon. Malgré 67% de possession de balle, Al-Ahly peine à se montrer dangereux. Les Égyptiens s'en remettent alors à des coups de pied arrêtés mais sans parvenir à trouver le cadre. Loge de gardien de. De retour des vestiaires, les Égyptiens attaquent la deuxième période comme ils ont fini la première. Sans inspiration. Au contraire, les joueurs de Walid Regragui s'enhardissent. Le pressing est efficace, la projection vers l'avant rapide. Au milieu, Yahya Jabrane, le capitaine du Wydad, se comporte en patron. C'est lui qui, sur un débordement côté droit, sert l'inévitable El-Moutaraji au second poteau venu devancer Mohamed Hany pour reprendre le ballon, d'abord arrêté par El-Shenawy puis propulsé dans les buts vides par l'homme du match. Incapables de renverser la vapeur, les Aigles tentent des frappes lointaines, notamment avec Magdy Afsha mais Tagnaouti, le gardien de "Casa" reste vigilant jusqu'au bout de la rencontre, comme sur cette sortie devant Percy Tau, bien malheureux lors de cette finale.

Le Musée Picasso de Malaga, en Espagne, se livre à un exercice périlleux: confronter Picasso aux artistes du passé. L'expérience avait déjà été tentée à Paris, en 2008, par Anne Baldassari et Marie-Laure Bernadac, avec « Picasso et les maîtres » au Grand Palais, suscitant les commentaires mitigés des spécialistes. Pourtant, l'événement a été une fréquentation record, le prototype des expositions « blockbusters »: 700 000 visiteurs étaient alors attendus, ce qui était déjà ambitieux, ils étaient près de 783 352, pour un bénéfice d'environ 1 million d'euros. Il est vrai qu'il était difficile de résister à une telle réunion de chefs-d'œuvre. La Maja desnuda de Goya était venu du Prado, mais il y avait aussi Poussin, Rembrandt, Vélasquez, Zurbaran, El Greco, Chardin, Ingres, Cézanne, et on en oublie. Deux cent dix oeuvres en tout, de quoi satisfaire bien des appétits… La thèse est discutable, et ce n'est pas l'exposition actuelle qui fera pencher l'opinion dans un sens ou dans l'autre. A Malaga, nous sommes beaucoup plus modestes: l'unique salle de l'exposition intitulée « Face à face » – les œuvres y sont plutôt côte à côte – ne comprend que dix-sept tableaux!

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Produite par Culturespaces et réalisée par Gianfranco Iannuzzi, Renato Gatto et Massimiliano Siccardi avec la collaboration musicale de Luca Longobardi, cette nouvelle exposition immersive vous invite à découvrir un siècle de peinture espagnole! De la cour espagnole aux scènes champêtres de Goya, on voyage à travers les jardins enchanteurs de Rusiñol, les portraits de Zuloaga et les scènes en bord de mer du lumineux Sorolla pour se plonger dans l'univers pictural foisonnant de Picasso et son œuvre magistral qui nous transporte dans l'art du XXe siècle. Cette exposition fait partie du projet Picasso-Méditerranée. Informations pratiques Janvier, mars, novembre, décembre: 10h – 18h Avril, mai, juin, septembre, octobre: 9h30 – 19h Juillet et août: 9h30 – 19h30 Billet valable du 2 mars 2018 au 6 janvier 2019. Tarif réduit pour les 7-17 ans, les étudiants, les demandeurs d´emploi, les titulaires de la carte d´invalidité et les porteurs du Pass Education – sur présentation d'un justificatif en cours de validité (de l'année en cours).

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On croise deux des suspects habituels, Zurbaran et El Greco, et d'autres bien moins attendus: Francisco Pacheco, Giovanni Battista Caracciolo, Cornelis Norbertus Gysbrechts, Bernardo German Llorente et Diego Bejarano… Pas vraiment des stars. Hormis Francisco Pacheco (1564-1644), dont la notoriété tient beaucoup au fait qu'il eut Velasquez pour élève et qu'il fut l'auteur d'un précieux traité de peinture, on ne peut pas dire que la liste soit d'une à attirer les foules. « Ténèbres espagnoles » Le Caracciolo napolitain (1578-1635) est l'un des nombreux disciples du Caravage et n'a pas quitté son Italie natale. Le Flamand Gysbrechts (1630-1675) était un spécialiste du trompe-l'œil et partagea sa vie entre Anvers et Copenhague. L'Allemand Llorente (1680-1759), dont les toiles ressemblent beaucoup à Murillos, ne s'est guère éloigné de Séville. Quant à Bejarano, qu'on ne confondra pas avec le footballeur bolivien, on sait peu de choses sur lui, si ce n'est qu'il est à l'origine d'une lignée de peintres et qu'il est actif à Séville.

Beaux Arts éditions se fait l'écho de ce fabuleux voyage à travers les œuvres de l'un des plus grands peintres du siècle dernier et de ses maîtres espagnols… Exposition aux Carrières de Lumières, du 02 mars 2018 au 06 janvier 2019 44 pages - Paru le 28 mars 2018 - Broché - 22 × 28. 5 cm - EAN: 9791020404299 À découvrir dans ce hors-série