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Vos Poèmes Tous les auteurs Aa ADNENE Matin de décembre Offrir ce poème Les pruniers Dénudés Assoupis Enrobés de givre Les mésanges Savourent le silence La tête en bas Ivres Des pensées m'assaillent Se pressent Se bousculent Se dérobent S'éloignent Libres Mon cœur Enchanté Léger Vibre

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En ligne 14 Avril 2022 Par un beau matin de septembre Où fébrile je t'attendais Guettant les heures qui passaient Non, ce n'etait pas en novembre Ce n'était point non plus décembre Mais les hirondelles partaient Nous reverrons nous en octobre La question que je me posais Et parfois même j'en rêvais Je portais des vêtements sobres Par un beau matin de septembre ​ Dernière édition: 14 Avril 2022 Hors ligne Merci pour le partage de ce beau matin de septembre, toujours beaucoup de plaisir à vous lire. Ce joli poème m'a beaucoup plu Gaby, ravie de l'avoir lu! Bise Pauline Jolie prestation poétique, bravo et merci gaby Moïse Un grand merci a tous et toutes Bien amicalement à vous Gaby Dernière édition: 14 Avril 2022

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En ce moment, chaque matin, je me lève aux horreurs. C'est comme se lever aux aurores, mais dans un monde de merde… Navigation de l'article

Année, toi qui frappe aux portes du trépas, Dans la pauvre lueur d'un jour gris silencieux, Trop semblable à la nuit, tu t'enfuis par le chas Du temps qui te dévore sous les larmes des cieux. Ton soleil épuisé croise une lune rousse. L'hiver colle à mon cœur comme à l'arbre la mousse. La nature figée reconnaît cet enfant: Un enfant de décembre orphelin du printemps. Va, enfant de décembre aux pas ensevelis Retrouver tes pareils, sagittaires glacés, Dont la lyre s'accorde aux cris des cœurs blessés! Savoure l'instant triste et sa mélancolie. Il neige, et ce silence qui tombe de si haut Me rappelle tes lèvres qui n'osaient pas les mots; Les flocons se donnent à mourir au chemin: Le parcours de tes doigts au détour de ma main! Et les chants se sont tus; et le vol suspendu Des ruisseaux dans les prés semble l'eau de tes yeux, Qui ne coulera plus. Nos serments précieux Sont entrés dans l'hiver où l'amour s'est perdu. Ô enfants de décembre dont les ombres s'allongent Au soleil languissant, arbres noirs et sans feuilles … Vous rêvez le printemps dont vous portez le deuil; La sève se replie et le regret vous ronge.