Support Magnétique De Stockage / Projet De Loi Cadre Sur L’enseignement : El Othmani Rassure | Aujourd'Hui Le Maroc
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Face à cette monstrueuse croissance, les bandes magnétiques ont un rôle précieux à jouer en tant que mémoires de masse. Outre leur capacité de stockage, les bandes magnétiques garantissent une fiabilité et une durabilité élevées. Les spécifications techniques des bandes LTO ( Linear Tape-Open, standard technologique le plus répandu) indiquent ainsi une durée de vie de 30 ans. Idéales pour des sauvegardes sur le long terme, les cassettes magnétiques permettent aux entreprises de répondre à leurs obligations légales en matière d'archivage de données. Leur ultime avantage est d'apporter une solution financièrement très intéressante! Les bandes magnétiques présentent le coût par gigaoctet le plus faible en tant que supports de stockage. Support magnétique de stockage dans. Quasiment 10 fois moins élevé que les autres technologies, leur ratio coût/capacité continue même d'évoluer. Elles présentent en outre un coût d'exploitation limité, y compris dans le cadre d'un stockage externalisé: ne nécessitant ni énergie électrique ni refroidissement à l'instar des serveurs et des baies informatiques, le stockage des bandes magnétiques est en effet peu énergivore.
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Afin d'assurer la mise en œuvre effective des dispositions de la loi-cadre 51. Loi-cadre de l’enseignement : coup d’envoi aux rencontres régionales - LesEco.ma. 17, il a cité l'adoption d'une nouvelle méthodologie, basée sur l'efficacité de la performance, en élaborant un portefeuille de 16 projets concernant le secteur de l'enseignement supérieur et recherche scientifique. Le ministre délégué a précisé que ces projets sont répartis en trois domaines stratégiques, à savoir l'équité et de l'égalité des chances (5), l'amélioration de la qualité de l'éducation et de la formation (6), ainsi que la gouvernance et de la mobilisation (5 projets). Il a dans ce cadre réaffirmé la volonté de les mettre en œuvre tant au niveau central que sur le plan régional, en impliquant les universités dans 14 projets, en ligne avec la nouvelle perspective qui prend en compte la dimension régionale et territoriale dans le processus de réforme du système éducatif. Quant au président du Conseil de la région de Laâyoune-Sakia El Hamra, Sidi Hamdi Ould Errachid, il a souligné que la promotion de l'éducation fait partie d'un immense chantier intégré lancé par SM le Roi Mohammed VI à Laâyoune en 2015 à l'occasion du 40ème anniversaire de la Marche verte, à travers le modèle de développement des provinces du Sud du Royaume (Avec MAP).
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Il a suffi donc d'une semaine et de deux réunions pour que le texte soit adopté, sans aucun amendement en commission (de la seconde Chambre), à la majorité, sachant que la moitié des membres de la commission étaient aux abonnés absents. En effet, sur les 14 membres composant la commission, seuls six étaient présents. Le texte a été ainsi adopté avec cinq voix pour et une seule voix contre (Rajae Kessab, conseillère de la Confédération démocratique du travail). La loi cadre de l enseignement au maroc d. Si les conseillers du Parti de la justice et du développement et de l'Istiqlal ont voté pour le texte dans sa globalité, ils se sont abstenus de voter l'article 2 portant sur l'alternance linguistique, qui était objet de discorde, et l'article 31 se rapportant à la langue d'enseignement et qui prévoit l'enseignement des matières scientifiques et techniques en langues étrangères. Avec l'entérinement de cette loi par le Parlement, le Maroc aura donc franchi une nouvelle étape dans le chantier de déclinaison de la réforme de l'enseignement, dans la mesure où ce texte permettra de décliner la vision de la réforme et d'atteindre les objectifs tracés loin des incertitudes et des changements liés à la succession des responsables gouvernementaux.
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Cette dynamique a abouti à la cristallisation d'un ensemble de mécanismes de pilotage et de mise en œuvre de projets aux niveaux national et régional, qui s'est manifestée par l'élaboration d'un portefeuille de projets nationaux pour appliquer les dispositions de la loi-cadre relative au système d'éducation, de formation et de recherche scientifique, en plus de la mise en place d'un système de leadership, de suivi et d'évaluation des projets en la matière, a fait observer S. Amzazi. Il a expliqué que ce portefeuille est centré autour de trois domaines stratégiques, à savoir l'équité et l'égalité des chances, l'amélioration de la qualité de l'éducation et de la formation, ainsi que de la gouvernance du système et la mobilisation. La loi cadre de l enseignement au maroc. Le ministre a précisé que ces projets se déclinent, à travers un portefeuille d'initiatives régionales, en 18 projets dans le secteur de l'éducation nationale, 16 au niveau de celui de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique et 13 pour celui de la formation professionnelle.
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Diversité linguistique, lutte contre l'abandon scolaire, réforme du système d'orientation… sont les grandes lignes de ce projet de loi de 36 pages. La généralisation de l'enseignement et son caractère obligatoire seront consacrés par cette loi, qui prône la création d'un fonds spécial pour les familles n'ayant pas les moyens de scolariser leurs enfants. Loi-cadre 51-17: 16 projets prévus dans le cadre de la réforme de l'enseignement - La Vie éco. La mesure toucherait uniquement « les familles aisées » Mais une clause particulière a suscité la polémique: celle de la fin de la gratuité des universités publiques. La mesure toucherait uniquement « les familles aisées », pour permettre à l'État d'orienter ses efforts vers ceux qui en ont le plus besoin. Une forme « de solidarité nationale », avait estimé le CSEFRS, au moment où ce projet avait fuité dans la presse marocaine en 2015. « La loi-cadre que nous allons voter aujourd'hui est une loi générale. Il faut attendre la sortie de son décret d'application qui va préciser le montant des frais qui doivent être payés à l'État et les tranches sociales qui y seront assujetties », précise Khalid Samadi.
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Le privé, la bouée de sauvetage En 2012, c'est le ministre de l'Enseignement supérieur de l'époque, Lahcen Daoudi (PJD), qui avait jeté ce pavé dans la marre en déclarant que « les riches doivent arrêter de profiter du système » et qu'il fallait en finir avec « l'absurdité du tout-gratuit » dans l'enseignement supérieur. Depuis, nombre d'experts dénoncent une mesure « discriminatoire et populiste ». Car les classes riches et moyennes ont déserté l'enseignement public marocain, préférant mettre leurs enfants dans des écoles privées, quitte à consentir d'énormes sacrifices financiers, plutôt que d'hypothéquer leur avenir.
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Après la réunion de son bureau exécutif, l'aile idéologique du PJD a appelé «à une véritable ouverture sur l'apprentissage des langues les plus utilisées dans le monde en fournissant les moyens financiers, pédagogiques et humains nécessaires». Le quotidien Al Massae rapporte, dans son édition du lundi 1er avril, que le MUR a demandé aux «groupes parlementaires et aux partis politiques représentés au Parlement d'assumer leur responsabilité historique en respectant leur engagement envers la constitution du pays qui donne une place privilégiée aux langues arabe et amazighe». Le bureau politique a affirmé qu'il a discuté de l'accord qui prône la mise en œuvre d'une «alternance linguistique pour enseigner certaines matières, notamment scientifiques et techniques par l'une des langues étrangères». Le MUR considère que ce choix constitue «un recul dans le respect des constantes nationales inscrites dans la constitution qui a été approuvée par les Marocains. Un choix qui pourrait hypothéquer l'avenir des générations montantes».