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Elle fait la lumière (cf Spotlight) sur la situation, ce qui va lui donner le courage d'affronter Diana – face à face. Rebecca n'est pas Wonder Woman. Elle ne peut pas venir à bout de Diana. Et pour cause, Diana n'est qu'une projection de la maladie mentale de Sophie. La seule manière de la faire disparaître serait que Sophie suive un traitement ou qu'elle se suicide. Dans les deux cas, Rebecca ne peut pas faire grand chose, si ce n'est protéger Martin. Non seulement Rebecca admet que fuir n'est pas une solution, mais elle reconnaît que parfois nous sommes désemparés. Face à certaines situations, nous n'avons pas les moyens de changer les choses. Tout ce que nous pouvons faire, c'est simplement être présent pour les gens qu'on aime. Et c'est déjà pas mal (cf Biutiful). LE TRAILER Cette explication n'engage que son auteur.

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Un cas à part dans le cinéma d'épouvante contemporain, qui a davantage vu se succéder sequels, prequels, remakes et reboots en tous genres. Quelques concepts inédits sont parvenus à se faire une jolie place sur le devant de la scène, Sinister (Scott Derrickson, 2012), Mama (également court métrage à l'origine, Andrés Muschietti, 2013) ou encore le fameux Mister Badabook (Jennifer Kent, 2014). Lights Out promettait d'en faire partie grâce à son concept tout con tout bon par un réalisateur dont les seuls travaux se résumaient en plusieurs courts métrages audacieux et originaux. Soyons honnêtes dès le début, Lights Out n'est pas un mauvais film. C'est un film moyen qui aurait tout simplement pu être excellent. Jouissant d'une mise en scène certes simple mais maîtrisée, le film joue sur le concept d'éclairage et d'obscurité pour livrer une ambiance ne tombant pas dans le cliché insupportable du film sombre, tellement sombre qu'on arrive à peine à distinguer quoi que ce soit sur l'écran. Au contraire, couleurs vives et lumières vives viennent égayer le film pour davantage créer une rupture lors des scènes d'attaque et de présence de la créature.

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L'histoire de Diana est étroitement liée à celle de Sophie ( Maria Bello), la maman de Rebecca et Martin, laquelle entretenait une relation privilégiée avec la défunte lors de son court séjour au même hôpital. Diana revient hanter Sophie et s'emploie à éliminer tous ceux qui se mettront en travers d'elle et Sophie, jusqu'aux pères de ses deux enfants. Si DANS LE NOIR a été produit par James Wan à qui l'on doit notamment quelques SAW et autres CONJURING, ANNABELLE et cette cohorte de films d'épouvante bon marché qui rencontrent un succès fracassant à travers le monde. Aucun hasard ici. DANS LE NOIR surfe sur la même vague d'épouvante sur fond de possession démoniaque et de maison hantée. Et tous les ingrédients nécessaires propices à la peur sont bien là. Diana (ou plutôt son ombre) n'apparaît que dans le noir ou la pénombre, et elle ne se limite pas à la maison familiale. Son ombre tout comme ses mains longilignes font penser à la morte vivante de [REC] enfermée dans l'appartement du haut.

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Qui est-elle? Pourquoi n'apparaît-elle que dans le noir? On nous explique tout mais pas de façon hyper convaincante. Surtout qu'en l'occurrence, du côté du casting, seule Teresa Palmer trouve la bonne tonalité et s'avère irréprochable. Les autres patinent un peu. Maria Bello tombe systématiquement dans l'excès et le gamin joue comme une aubergine. On devine alors les limites de Sandberg qui n'est manifestement pas un grand directeur d'acteurs. Pas encore tout du moins. Lui son truc, c'est de filer la frousse aux spectateurs et c'est donc avec impatience que l'on attend les interventions du fantôme allergique à la lumière. Surtout une fois qu'on a compris que l'histoire ne sera ni plus ni moins qu'une resucée de toutes ces séries B d'épouvante un peu feignantes qui débarquent tous les ans. En revanche, on peut saluer la façon dont le scénario choisit de conclure ce récit balisé et prévisible, sans se priver de sombrer dans une noirceur appréciable en cela qu'elle dénote au moins d'une volonté de ne pas édulcorer le propos.

CRITIQUES | 24 août 2016 | Aucun commentaire Titre original: Lights Out Rating: Origine: Grande-Bretagne Réalisateur: David F. Sandberg Distribution: Teresa Palmer, Maria Bello, Alexander DiPersia, Gabriel Bateman, Alicia Vela-Bailey, Billy Burke… Genre: Épouvante/Horreur Date de sortie: 24 août 2016 Le Pitch: Rebecca voit son quotidien bouleversé quand l'école de son petit frère l'informe que celui-ci a récemment adopté un comportement inquiétant. Perturbé, il dévoile alors à sa sœur que leur mère, avec laquelle Rebecca est brouillée, a arrêté de prendre son traitement contre la dépression et recommence à parler à une certaine Diana. Une créature qui ne vivrait que dans l'obscurité et qui ne serait pas animée des meilleures intentions. Diana, que Rebecca a déjà rencontré par le passé et dont l'existence ne fait donc pas l'ombre d'un doute… La Critique: David F. Sandberg est la preuve vivante qu'aujourd'hui encore, peut-être plus que jamais grâce à internet, le court-métrage peut s'avérer être un excellent tremplin pour la cour des grands.