Figure De Style Souvenir De La Nuit Du 4 Août

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L'hyperbole: Figure de style utilisant l'exagération des termes afin de produire un effet accentué. Il est fort comme un boeuf. J'ai une faim de loup. L'antithèse: Figure de style qui présente au sein d'un même vers, deux mots ou expressions reflétant des idées opposées. Extrait de « La romance du vin » « Oh! si gai, que j'ai peur d'éclater en sanglots! » La périphrase: Figure de style qui présente en plusieurs mots ce qui pourrait être énoncé en un seul mot. Les miroirs de l'âme – les yeux L'astre du jour – le soleil La voûte céleste – le ciel La répétition: Figure de style consistant en la reprise d'un mot ou d'une expression dans le but de lui apporter plus d'importance. Extrait de « Soir d'hiver » « Qu'est-ce que le spasme de vivre A tout l'ennui que j'ai, que j'ai! …» -Émile Nelligan L'énumération: Figure de style qui présente une suite de mots de même nature (noms, verbes, etc. ) et de même fonction (sujets, compléments, etc. Souvenir De La Nuit Du 4 - Recherche de Documents - rockme. ) qui composent un concept ou une idée générale. Extrait de « Chant d'automne » « Tout l'hiver va rentrer dans mon être: colère, Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé, » L'onomatopée: Figure de style qui présente les sons et les bruits que certains mots peuvent exprimer.

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  2. Figure de style souvenir de la nuit du 4 octobre
  3. Figure de style souvenir de la nuit du 4 février

Figure De Style Souvenir De La Nuit Du 4 Aout 1789

Hélas! ce que la mort touche de ses mains froides Ne se réchauffe plus aux foyers d'ici-bas! Elle pencha la tête et lui tira ses bas, Et dans ses vieilles mains prit les pieds du cadavre. - Est-ce que ce n'est pas une chose qui navre! Cria-t-elle; monsieur, il n'avait pas huit ans! Ses maîtres, il allait en classe, étaient contents. Monsieur, quand il fallait que je fisse une lettre, C'est lui qui l'écrivait. Est-ce qu'on va se mettre A tuer les enfants maintenant? Ah! mon Dieu! On est donc des brigands! Je vous demande un peu, Il jouait ce matin, là, devant la fenêtre! Dire qu'ils m'ont tué ce pauvre petit être! Il passait dans la rue, ils ont tiré dessus. Monsieur, il était bon et doux comme un Jésus. Moi je suis vieille, il est tout simple que je parte; Cela n'aurait rien fait à monsieur Bonaparte De me tuer au lieu de tuer mon enfant! Figure de style souvenir de la nuit du 4 aout 1789. - Elle s'interrompit, les sanglots l'étouffant, Puis elle dit, et tous pleuraient près de l'aïeule: - Que vais-je devenir à présent toute seule? Expliquez-moi cela, vous autres, aujourd'hui.

Figure De Style Souvenir De La Nuit Du 4 Octobre

« Souvenir de la nuit du 4 » évoque cette journée sanglante. À peine un an plus tard, le 2 décembre 1852, Louis-Napoléon Bonaparte est sacré empereur. L'empire de Napoléon III ne prendra fin qu'en septembre 1870 avec la capitulation de Sedan (guerre contre les Prussiens). Figure de style souvenir de la nuit du 4 février. Opposé à l'empire, Victor Hugo est contraint de s'enfuir sous une fausse identité, et choisit de s'exiler durant 19 ans. Lecture analytique I - Une scène pathétique L'objectif de cette longue première strophe est d'émouvoir le lecteur, de lui faire ressentir l'horreur de cette veillée funèbre. Cet objectif repose, entre autres, sur une description minutieuse des lieux, du corps de l'enfant et enfin sur le discours de la grand-mère. La description des lieux Cette description ne commence qu'après un premier vers brutal, simple: « L'enfant avait reçu deux balles dans la tête ». Victor Hugo énumère ensuite quatre adjectifs décrivant les lieux: « Le logis était propre, humble, paisible, honnête ». Le poète, pour rendre la scène plus réelle, insiste sur les détails: le « rameau bénit sur un portrait », « l'armoire en noyer », la « toupie en buis ».

Figure De Style Souvenir De La Nuit Du 4 Février

Interrompu par deux vers de récit; v. 40 et 41. - v. 26 et 27: indignation (vers exclamatif) > verbe " crier " souligne sa douleur. Force de ce vers tient au fait que le narrateur est pris à témoin: " monsieur " - v. 28 à 30: évocation de l'image de l'enfant vivant. - Retour au présent, interrogation douloureuse marquée par incompréhension - v. 33 à 39: évocation de l'enfant le matin même de sa mort: souvenir plus récent et plus douloureux. Présence de l'enfant soulignée par " là ". Dénonce injustice à faire mourir un enfant plutôt que vieux. Figure de style souvenir de la nuit du 4 mai. Accusation plus précise: " M. Bonaparte " explicitement nommé - Se livre à interrogation sur son propre avenir, raisons de cette mort. Absence de justification. > > deux vers de récit puis suite du discours > réaction du narrateur et ami. C. Le jugement de l'auteur (vers 49 à 60) Le narrateur livre sa réponse, qui semble être comme adressée à la grand-mère. - v. 49: insiste sur la nature de la réponse: d'ordre politique - v. 50 à 57: Mise en cause violente de Napoléon III.

C'était le chemin creux d'Ohain. L'instant fut épouvantable.