Documentaire Montrant Les Coulisses D Un Film De 15 Minutes En Ville

Salle De Musculation Balaruc Les Bains

Le documentaire "Salam" ("Paix" en arabe), hormis une incursion de Diam's aujourd'hui dans un Zenith de Paris vide, ne parle pas de musique. La quadragénaire se présente voilée et couverte des pieds à la tête, visage apparent. Le film est scindé en deux parties: le mal-être du temps du show-biz et l'après. - Pleurs en coulisses - Diam's et des proches racontent d'abord les souffrances. On prend connaissance d'une première tentative de suicide à 14 ans, prolongement d'une peur irrationnelle de la mort de sa mère, pourtant toujours bien portante et qui s'exprime dans le documentaire. Le rap et le succès n'arrangent rien. "A force de courir dans tous les sens, ma vie n'en avait plus aucun", assène-t-elle. Vitaa, artiste qui fit ses premières parties, décrit les pleurs de Diam's en coulisses après des concerts triomphaux. Documentaire montrant les coulisses d'un film. Son ancienne manageuse relate les scarifications aux bras et visage. Un internement psychiatrique s'impose. "Ils m'ont éteint avec les médicaments", assure Diam's. A sa sortie, on comprend qu'il y aura une autre tentative de mettre fin à ses jours.

  1. Documentaire montrant les coulisses d un film sur imdb

Documentaire Montrant Les Coulisses D Un Film Sur Imdb

Publié le 27 mai 2022 à 8h27 Source: Brut / Capture Youtube L'ex-rappeuse revient avec "Salam", un documentaire qu'elle a co-réalisé, présenté au 75e Festival de Cannes. Absente sur la Croisette, elle s'explique dans deux entretiens accordés au "Parisien" et à "Brut". Elle y revient longuement sur sa tentative de suicide et le rôle joué par la religion pour s'en relever. Diam's reprend la parole. Dans Salam, présenté au Festival de Cannes, un documentaire qu'elle a co-réalisé avec Houda Benyamina et Anne Cissé, l'ex-rappeuse revient sur son parcours et sa décision de se convertir à l'Islam en 2008 après une tentative de suicide, liée à des problèmes personnels, alors qu'elle était l'une des plus grandes stars de la musique française. " Il faut comprendre que j'ai touché la folie du doigt. Simon & Garfunkel : comment l'Amérique raciste des années 60 avait tenté de censurer le duo. J'ai été folle ", explique-t-elle dans un entretien accordé au Parisien. "J'ai été shootée par des médicaments qui m'éteignaient puis me désinhibaient. Quand je me retrouve en hôpital psychiatrique, je ne peux pas parler à un psy que vingt minutes par jour, alors c'est cinq heures que j'ai envie de parler.

Survient le tournant de la conversion à l'islam quand, lors d'une soirée entre filles, l'une des convives s'isole pour prier et que Diam's, qui a pourtant grandi dans le catholicisme, la suive. L'ex-rappeuse, mère de trois enfants, affirme s'être ensuite convertie seule à l'Île Maurice où elle était partie en virée avec Vitaa. Comme une réponse à ceux qui la disaient endoctrinée quand les photos d'elle, voilée, dans Paris Match, avaient créé l'émoi il y a une dizaine d'années. 75e Festival de Cannes | Diam’s se livre dans un documentaire | La Presse. - Parti pris - Les partis pris de mise en scène sont assumés. On ne voit des proches qui témoignent dans la première partie, assez sombre, que les visages, comme si eux-mêmes étaient voilés. "On voit la vérité des visages, on resserre sur les silences, les sourires, les larmes, ce qui est aussi peut-être un moyen de faire oublier son voile et le vêtement (long) qu'elle porte quand elle apparaît", estime auprès de l'AFP Anne Cissé, une des co-réalisatrices (avec Diam's et Houda Benyamina). La deuxième partie du film correspond à la conversion de Diam's et à sa fondation dédiée à des orphelins au Mali (même si, comme elle le dit au Parisien de vendredi, elle vit aux Emirats arabes unis).