Tenue Traditionnelle Antillaise

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Les vêtements pour les grands jours Les femmes portaient culotte longue (panty) et un jupon brodé et garni de dentelles, de volants. La robe en madras, en tissu imprimé ou en soie, doublée parfois de tarlatane, était longue, coupée à la taille avec une longue traîne par derrière, traîne qu'elles relevaient et qu'elles accrochaient à la taille sur le côté, de façon à dévoiler leur joli jupon garni de dentelles. La coiffe sur la tête est un accessoire indispensable à la tenue traditionnelle créole. Chaque île sa manière de nouer le madras. Toutes les coiffes sont en madras sauf celles des jeunes filles et celles des tenues de deuil. Les femmes possédaient également des coiffes toutes prêtes, moulées sur la tête (chaudière) qu'elles n'avaient qu'à poser sur les cheveux tirés en arrière et roulés en tresse. Elles maintenaient la coiffe à l'aide d'une petite barrette en or. Tenue traditionnelle antillaise du. Le foulard pouvait également être simplement noué sur la tête. La façon dont était noué le foulard, le nombre de pointes qui dépassait donnait des indications sur l'état du coeur de la belle.

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* La robe à corps: C'est la quantité et la richesse du tissu utilisé qui la différencie de la robe de tous les j ours. Il s'agit de satin, de satin broché, satinette, taffetas, brocart. Le jupon: en faille, en taffetas avec des volants plissés, superposés ou b rodés; en dentelle chantilly. Présentation du costume traditionnel aux Antilles – Mairie de Rivière-Salée. Le foulard: est assorti au jupon. Dans les années 30, apparaît la visite, sorte d e cape qui remplace le foulard. Les grandes périodes du costume: – De 1848 à 1930: mise en place du costume. – De 1930 à 1950: Déclin progressif (elle est de moins en moins portée). – De 1950 à 1960: période doudouiste; le costume antillais est « folklorique » (groupes La Brisquante, Acacia, Balisier…) – De 1960 à nos jours: revendications identitaires qui donne sa place au costume « créole » qui réintègre le patrimoine culturel; au point de devenir un sujet de recherche pour les historiens, et une source d'inspiration pour les stylistes. La grand-robe prend le pas sur la jupe-chemise dès la fin du 19ème (1880) à nos jours.

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Cette technique venue des Indiens, donnait de l'éclat au madras, elle se pratiquait autrefois non pas avec des pinceaux mais des plumes de poule. Les tenues traditionnelles sont portées avec une multitude de bijoux en or, les colliers se superposent et même les coiffes en sont parées. C'est toute cette tradition, ce savoir-faire de nos aïeux, que Flanms Kréyol, association martiniquaise de promotion des Arts Créoles, veut perpétuer, au travers de ses défilés de tenues et coiffes traditionnelles à la Martinique. Les modèles qui sont présentés sous des airs de musique d'antan lontan, avec la participation du groupe Kôd Yam'n la, sont portés par des femmes martiniquaises, toutes générations confondues, belles et fières de se parer de ces toilettes riches d'histoires et de ces bijoux d'époque. Tenue Traditionnelle des Femmes en Martinique - Cultur'Îles. Flanms Kréyol présente son spectacle tous les dimanches soirs à l'hôtel Caritan de Ste Anne. (Martinique) L'association composée de 40 membres, 25 mannequins, peux vous proposer également d'autres prestations, comme hôtesse d'accueil, escorte, haie d'honneur, défilé commenté, spectacle de danse et de chant… Pour les contacter, composez le 06.

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Par exemple: une pointe qui dépassait signifiait: "coeur à prendre"; deux pointes: "déjà pris"; trois pointes: "femme mariée". * * * Les hommes portaient des chemises à nervures, à jabot (en batiste) avec boutons de manchette en or, la giletière, la redingote. Sur la tête, un chapeau: panama, canotier... Dans la poche, la montre à gousset. Sous le pantalon, ils portaient un caleçon en tissu qui descendait jusqu'aux genoux. Tenue traditionnelle antillaise dans. * * * Le madras Le madras était originaire des Indes. Il résultait du tissage artisanal de fibres de bananier, puis de bananier et de coton, plus solide, et dégageait une odeur particulière. On faisait une distinction entre le madras aux coloris vifs et variés, tissé avec des fils retors (venus d'Angleterre), et le mouchoir, tissé avec des fils plats et dont les coloris sont rouge, bleu foncé et rose (croisement des fils rouges et blancs). Le long de la lisière, le madras et le mouchoir des Indes présentaient des petits trous faits par les pointes qui tendent le tissu sur le métier.

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Référence 11: robe rouge Référence 12: robe bleue Les vendeuses de fleurs, sur les marchés, sont des femmes Antillaises en tenues traditionnelles, elles portent des bouquets de fleurs tropicales, anthurium, héliconia, rose de porcelaine… Référence 13: tenue blanche, tablier et coiffe en madras jaune. Référence 14: tenue bleue, tablier et coiffe en madras rouge. Référence 15: tenue jaune, tablier et coiffe en madras vert. Référence 16: tenue rouge, tablier et coiffe en madras bleu. Les coupeurs de régimes de bananes sont en tenues de travail d'autrefois. Référence 17: Pantalon jaune, tee-shirt et chapeau bleu. Référence 18: Pantalon rouge, tee-shirt et chapeau blanc. Mode Antillaise & Créole pour Femmes | Dody. Référence 19: Pantalon bleu, tee-shirt vert et chapeau blanc. Référence 17: Pantalon bleu, tee-shirt jaune et chapeau marron. Les vendeuses de fruits, femmes Antillaises en tenues traditionnelles, portant dans leurs petits paniers en rotin tressé des fruits tropicaux: bananes, ananas, pastèques, goyaves… Référence 21: robe bleue et coiffe en madras rouge.

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Téléchargez le document ici. 1. 1. La tenue de tous les jours La robe douillette ou wòb ti-do ou wòb-a-kò ou gwanwòb. Cette robe est nommée « à corps », car elle tient bien au corps comme un corset. Ample devant, elle peut être portée en toutes circonstances, notamment par la femme enceinte. Il faut 9 à 10 mètres de tissu pour la réaliser. Le dos est ajusté, ne descend pas à la taille, d'où le terme petit dos. L'effet de corset est rendu par l'ensemble des plis, les cordons intérieurs et le petit bourrelet, la mahoulette. Elle se décline en « colinette », robe « ti-collet », portée en particulier par les jeunes filles. Les tenues d'apparat: * La jupe-chemise: est composée comme son nom l'indique, d'une jupe et d'une chemise. Tenue traditionnelle antillaise homme. La chemise est confectionnée dans une batiste très fine garnie de dentelles, de plis avec des manches qui s'arrêtent aux coudes. Elle est boutonnée par des boutons en or. La jupe très ample et très large par derrière avec une queue et nouée jusqu'au-dessus des seins.

La distance entre deux trous s'appelle un coujou. Anciennement, on achetait la pièce de madras par coujous. Le mouchoir coûtait deux fois moins cher que le madras, et, comme les couleurs étaient plus ternes, il a fallu trouver un moyen de le rendre plus attrayant, d'où le travail du calendage. Le calendage consistait à peindre toutes les parties roses avec un mélange de gomme arabique et de jaune de chrome. * * * Les bijoux Très coquettes, les femmes aimaient rehausser leurs tenues de beaux bijoux en or. Les boucles d'oreilles: zanneaux chenilles, créoles, tétés-négresse, pommes-cannelle, pierres noires, grappes de vignes... Les colliers (ou chaîne): colliers-choux, mailles-concombre, chaînes forçats,... Les bracelets: joncs, semainiers... Sans oublier les bagues, les barrettes, les broches, les médailles.