♫ Martine St-Clair - Plus Près Des Étoiles ≫ Paroles / Lyrics ♫

Faux Maudite Du Saigneur Guerrier

Paroles de Jusqu'au Bout De La Nuit (Emile&Images) Laissez-nous chanter, Jusqu'au bout de la nuit........ Il m'entraîne au bout de la nuit, Les démons de minuit, M'entraîne jusqu'au l'insomnie, Les fantômes de l'ennui, Il m'entraîne.... Ils ont quitté leur terre, Leur champ de fer il arrive sacrée, Traversé les rizières, Jusqu'au grand fleuve salé, Un peu plus prés des étoiles, Au jardin de lumière et d'argent, A peine un peu plus libre qu'avant..... Dans nos corps à corps, On a joué sur les mêmes accords, Coeur à coeur, Quelque chose qui ressemble au bonheur, Corps à corps, Elle m'a emporté vers d'autres corps. Oh, hé, oh, hé, des dizaines à ton voilier, Sonné, sonné, les sirènes au vent salé, Sonné, sonné, la dernière traversée..... Amour au loin, Je m'sens si fragile le coeur en exile, Amour trop loin..... Ville de lumière, J'ai besoin de toi, Qu'ont-ils fait de toi.... Ne plus pleurer rester là, A se demander pourquoi? Ils ont quitté leur terre paroles de. N'exister que pour toi, T'aimer jusqu'au dernier combat..... Maîtresse, oh ma maîtresse!!

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Ils sont partis dans le silence Ils ont quitté la blanche colline Leur ville, leur cœur et leur origine Ils ont gardé les clés de la science Ils ont connu la déchéance Les San Benito et les bûchers Changé leur nom et leur destinée Calle Judía, rue de la Souffrance. Paroles Les Séfarades par Enrico Macias - Paroles.net (lyrics). L'Espagne, l'Espagne Un amour fou L'air de Tolède, un parfum de Cordoue Et leurs sourires cachent des soupirs Et leurs chansons rêvent de souvenirs. Les Séfarades ont dans leur cœur Une terre d'exil, une terre natale Une langue sacrée, les pages de la Kabale Cuisine sucrée, salée par les pleurs. Les Séfarades adorent la fête Ils aiment rire mais ils ont peur Du mauvais oeil, du sort et du malheur La paume des mains posée sur les têtes. Ils chantent lavie, ils crient l'espoir Ils parlent plus fort lorsque vient le soir Pour oublier le désespoir Avec leurs yeux ils disent les histoires De père en fils, c'est le fil rouge De la mémoire qui vivre, qui bouge Les Séfarades

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Plus Près Des étoiles () Plus près des étoiles, aux paroles dédiées aux boat-people ( migrants qui fuient leur pays pour des raisons politiques ou économiques sur des embarcations de fortune)et à la guerre du Viet-Nam.

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Du matin au couchant l'ombre déjà tournée S'allonge au pied du chêne et sur eux va pleuvoir; Le lac, moins éclatant, se ride au vent du soir. De l'autre bord du champ le sillon se rapproche. Mais quel son a vibré dans les feuilles? Une Touche d'Optimisme - Paroles - Les refugies. La cloche, Comme un soupir des eaux qui s'élève du bord, Répand dans l'air ému l'imperceptible accord, Et, par des mains d'enfants au hameau balancée, Vient donner de si loin son coup à la pensée: C'est l'Angélus qui tinte, et rappelle en tout lieu Que le matin des jours et le soir sont à Dieu. A ce pieux appel le laboureur s'arrête; Il se tourne au clocher, il découvre sa tête, Joint ses robustes mains d'où tombe l'aiguillon, Elève un peu son âme au-dessus du sillon, Tandis que les enfants, à genoux sur la terre, Joignent leurs petits doigts dans les mains de leur mère.

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Au joug de bois poli le timon s'équilibre, Sous l'essieu gémissant le soc se dresse et vibre; L'homme saisit le manche, et sous le coin tranchant, Pour ouvrir le sillon, le guide au bout du champ. La terre, qui se fend sous le soc qu'elle aiguise, En tronçons palpitants s'amoncelle et se brise, Et, tout en s'entr'ouvrant, fume comme une chair Qui se fend et palpite et fume sous le fer. En deux monceaux poudreux les ailes la renversent; Ses racines à nu, ses herbes se dispersent; Ses reptiles, ses vers, par le soc déterrés, Se tordent sur son sein en tronçons torturés. Poème Les laboureurs - Alphonse De Lamartine. L'homme les foule aux pieds, et, secouant le manche, Enfonce plus avant le glaive qui les tranche; Le timon plonge et tremble, et déchire ses doigts; La femme parle, aux boeufs du geste et de la voix; Les animaux, courbés sur leur jarret qui plie, Pèsent de tout leur front sur le joug qui les lie; Comme un coeur généreux leurs flancs battent d'ardeur; Ils font bondir le sol jusqu'en sa profondeur. L'homme presse ses pas, la femme suit à peine; Tous au bout du sillon arrivent hors d'haleine; Ils s'arrêtent: le boeuf rumine, et les enfants Chassent avec la main les mouches de leurs flancs.

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(extraits, 9ème époque) Déjà, tout près de moi, j'entendais par moments Monter des pas, des voix et des mugissements: C'était le paysan de la haute chaumine Qui venait labourer son morceau de colline, Avec son soc plaintif traîné par ses boeufs blancs, Et son mulet portant sa femme et ses enfants. Laissant souffler ses boeufs, le jeune homme s'appuie Debout au tronc d'un chêne, et de sa main essuie La sueur du sentier sur son front mâle et doux; La femme et les enfants tout petits, à genoux Devant les boeufs privés baissant leur corne à terre, Leur cassent des rejets de frêne et de fougère, Et jettent devant eux en verdoyants monceaux Les feuilles que leurs mains émondent des rameaux. Ils ruminent en paix, pendant que l'ombre obscure Sous le soleil montant se replie à mesure, Et, laissant de la glèbe attiédir la froideur, Vient mourir, et border les pieds du laboureur. Ils ont quitté leur terre paroles de the astonishing. Il rattache le joug, sous la forte courroie, Aux cornes qu'en pesant sa main robuste ploie. Les enfants vont cueillir des rameaux découpés, Des gouttes de rosée encore tout trempés, Au joug avec la feuille en verts festons les nouent, Que sur leurs fronts voilés les fiers taureaux secouent, Pour que leur flanc qui bat et leur poitrail poudreux Portent sous le soleil un peu d'ombre avec eux.

Et quand l'un d'eux quitte la terre Pour gagner la maison du Père, Une étoile naît dans les cieux...