[Rennes] Journée Internationale Contre Les Violences Policières. Journée Internationale Contre Le Racisme - Rennes Info
La manifestation s'élance au départ de la future place Lumumba dans le quartier de Matonge ©LaMeute - Moulinette A l'occasion de la journée internationale contre les violences policières, environ 300 personnes ont manifesté ce mardi 15 mars sur un parcours allant de la future place Lumumba située dans le quartier Matonge, à la place de l'Albertine dans le centre de Bruxelles. Familles de victimes et leurs soutiens ont scandé à l'unisson slogans et noms des (trop) nombreuses personnes décédées suite aux crimes racistes de la police bruxelloise. A l'origine de cette mobilisation, plusieurs organisations et collectifs dont les JOC (Jeunes Organisés et Combatifs), Outils Solidaires contre les violences policières, les Acteurs et actrices des temps présents ou encore la Ligue des droits humains. Ces d'horizons divers ont voulu, en ce jour, mettre à l'honneur les familles des victimes des violences policières et systémiques pour exiger la justice pour toutes et tous. Comme point de départ de la manifestation, la future place Patrice Lumumba (1925-1961) située rue de l'Athénée au cœur de Matonge, le principal quartier congolais de la capitale et portant le même nom qu'un quartier populaire du nord de la province de Kinshasa.
- Journée internationale contre les violences policiers blessés
- Journée internationale contre les violences policiers film
- Journée internationale contre les violences policiers sur
- Journée internationale contre les violences policiers francais
Journée Internationale Contre Les Violences Policiers Blessés
Journée internationale contre les violences policières à Bruxelles (15 Mars 2022) - YouTube
Journée Internationale Contre Les Violences Policiers Film
De même, une mobilisation molle, ponctuelle et axée sur la seule détestation de la police ne saurait, en réalité, que dépolitiser et vider de toute substance l'essence même de cette lutte. Cette journée internationale contre les violences policières est à l'origine des collectifs canadien et suisse respectivement nommés « Collective opposed to police brutality » et « Black Flag ». Elle a été mise en place en 1997, après que des policiers suisses aient violemment battu deux jeunes enfants de 11 et 12 ans le 15 mars 1996. A Bruxelles, elle s'illustre comme l'opportunité nouvelle d'une convergence entre les collectifs et familles de victimes. Un désir d'unité déjà énoncé par Samira Benallal du collectif pour Sabrina et Ouassim lors des dernières audiences au Palais de justice, mais aussi par les collectifs pour Lamine Bangoura ou pour Mehdi Bouda, comme bien d'autres. Si la majorité des affaires ont été jusqu'ici conclues par des non-lieux, des audiences à venir laissent encore entrevoir un espoir de justice, notamment pour la famille de Mehdi, qui donne rendez-vous à leurs soutiens devant le Palais de justice de Bruxelles le 6 mai prochain.
Journée Internationale Contre Les Violences Policiers Sur
Les petites violences, et l'impunité quasi totale, qui les accompagnent installent une logique qui peut dégénérer vers des violences beaucoup plus graves, comme le cas d'Abdelamine, 19 ans, amputé d'une jambe après qu'une voiture de police lui ait foncé dessus. Il faut en outre compter les expulsions régulières et le harcèlement constant des Sans-papiers, en particulier lors d'arrestations après des contrôles dans les transports, à travers la collaboration de la STIB avec la police; mais aussi des rafles du côté de la gare du Nord qui visaient les migrant. s du parc Maximilien. Les arrestations et les coups arbitraires envers les militant-e‑s lors de manifestations sont de plus en plus fréquents. Le gouvernement emploie de plus en plus souvent la force pour faire appliquer son programme anti social.
Journée Internationale Contre Les Violences Policiers Francais
La violence des autorités détruit les communautés locales et crée une situation où l'initiative est punissable non seulement d'amendes et de jours d'emprisonnement, mais aussi de coups et de torture! Aujourd'hui, beaucoup de ceux qui vivent en Biélorussie ont peur quand ils voient un policier: regardez mal le gardien du bâton et vous pourriez prendre la pose d'une hirondelle* dans un poste de police. Et si la violence contre les militants politiques a diminué dans une certaine mesure par rapport au XXe siècle, aujourd'hui, la violence contre les gens ordinaires ne fait qu'augmenter, par indifférence et par manque de solidarité. D'un bout à l'autre de la planète, nous avons de nombreux exemples de la façon dont la violence policière n'est pas seulement utilisée à ce qu'on appelle les " niveaux nécessaires ", mais aussi pour empêcher les masses de manifester et d'exiger leurs droits. Les exemples des États-Unis, de l'Espagne, de la France, du Sri Lanka et de bien d'autres pays en témoignent.