Formation En Medecine Au Cameroun

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Le Président en a certainement été convaincu. La demande populaire, croisée avec les capacités effectives de formation, ont ainsi rencontré le dessein qu'il nourrit pour l'enseignement supérieur. C'est ainsi que la publication de l'acte présidentiel a suscité une explosion de joie autant à l'université que dans la société civile et dans les milieux politiques. Formation en medecine au cameroun anglophone. Au lendemain du décret, une marche de remerciement au Président a été organisée à Dschang. Des lettres de gratitude lui ont été adressées. La mobilisation a par ailleurs magnifié la contribution de toutes les forces qui ont milité pour l'aboutissement de ce dossier. Après l'euphorie, il était question de savoir si la faculté pouvait effectivement démarrer ses activités cette année académique 2017/2018. Au ministre de l'Enseignement supérieur, le recteur de l'Université de Dschang a donné des assurances que l'institution était prête. Le concours a été organisé le 14 janvier et le doyen de la faculté nommé par décret présidentiel le 29 janvier.
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Le ministre de la santé publique et les autres officiels Au cours de la cérémonie commémorative, le représentant-résident de l'organisation mondiale de la santé au Cameroun, le public et les autres partenaires de la santé ont également été édifiés sur les innovations camerounaises. Parmi les médicaments, figurent entre autres le Viro-green, le Soudicov plus, le Covidtaz ou le Corovitaz (gouttes) ou encore le Bio Covax. Ecole de formation en medecine au cameroun - Aide Afrique. Ils viennent après la pléthore de solutions anti-Covid qui ont déjà vu le jour et présentés jusqu'ici à l'opinion nationale. On retient que ces produits de l'expertise médicale traditionnelle nationale ont la particularité de traiter les symptômes et d'éradiquer le virus et bien d'autres pathologies, selon ces professionnels de la santé en quête de reconnaissance par les pouvoirs publics. Place à la médecine traditionnelle! « Le médecin traditionnel ne doit pas oublier sa responsabilité dans la société », dixit le ministre de la santé publique (Minsanté). Sur fond de lutte contre le coronavirus, Manaouda Malachie a rappelé que le pays est en plein dans le combat avec l'appui d'autres départements ministériels dans l'éradication de la pandémie au Cameroun.

Certains de ces Ministres ont été secondés dans l'accomplissement de leurs lourdes et sûrement exaltantes missions, soit par des Ministres adjoints: Augustin Ngom Nju (1961-1962); Tatah Sakah (1962-1964); Delphine Tsanga (1970-1975); soit par des vices Ministres: Isabelle Bassong (1984-1988), soit enfin par des Secrétaires d'Etat: Simon Njami Nwandi (1992-1996) et depuis 1996 Alim Hayatou.