Les Sept Branches De La Rivière Otages Français

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Les Sept branches de la Rivière Ota (crédit: Elias Djemil) C'est un peu le tour du monde, au son mélodieux de langues et d'accents étrangers, sur une ligne du temps qu'on traverse comme accrochés à une tyrolienne dramatique. Dans chacun de ces chapitres défilent des personnages liés par le sang, par les épreuves ou par un destin indomptable. La séquence des sept actes est écrite avec rythme, malgré quelques longueurs occasionnelles qui ne nuisent que très peu à l'ensemble de l'oeuvre. La performance magistrale de la distribution rend la fin déchirante, ce moment où il faut se départir de cette pléiade de protagonistes qui nous tiennent en haleine autant qu'ils nous émeuvent, avec une justesse et une retenue déconcertante. Sans surprise, c'est néanmoins la mise en scène qui demeure la force tranquille de cette production, comme c'est souvent le cas chez Robert Lepage. La magie opère lorsqu'on a cette impression indéfectible d'être au cinéma, alors que derrière le décor aux multiples portes coulissantes, on devine une performance technique d'une précision chirurgicale où rien n'est laissé au hasard.

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L'idée de développer un spectacle autour du thème de la bombe atomique est venue à Robert Lepage lors de sa première visite au Japon en 1992. 30 novembre 2021 3h00 Mis à jour à 4h01 Entourez la date du samedi 5 février 2022 si vous souhaitez voir le grand classique théâtral de Robert Lepage « Les sept branches de la rivière Ota », au Centre culturel de l'Université de Sherbrooke (CCUS). Et ne réservez pas seulement la soirée, mais aussi l'après-midi, car cette pièce dure plus de sept heures, entrecoupée de trois entractes et deux pauses. Sa présentation nécessitera également cinq jours de montage.

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Cinquante ans après la bombe, il contemple, à son tour, le torii de Miyajima, cette porte sacrée qui semble flotter sur les eaux déposées dans la baie d'Hiroshima par les sept branches de la rivière Ōta.

Le bâtiment se change en des logements à louer où l'on partage la salle de bain avec les autres locataires. On transforme le décor pour en faire un camp de concentration avec plusieurs lits ou un train avec des jeux de lumières au sol, ou encore un café-bar, ou une vitrine de filles à Amsterdam, etc. Le décor qui m'a le plus impressionné est celui des miroirs avec ses nombreux reflets de double, triple, quadruple personnes, etc. DISTRIBUTION REBECCA BLANKENSHIP LORRAINE CÔTÉ CHRISTIAN ESSIAMBRE RICHARD FRÉCHETTE MYRIAM LEBLANC UMIHIKO MIYA AUDRÉE SOUTHIÈRE PHILIPPE THIBAULT-DENIS DONNA YAMAMOTO CRÉDITS CONCEPTION ET MISE EN SCÈNE ROBERT LEPAGE ASSISTANCE À LA MISE EN SCÈNE ADÈLE SAINT-AMAND DIRECTION DE CRÉATION STEVE BLANCHET DRAMATURGE GÉRARD BIBEAU TEXTE ÉRIC BERNIER GÉRARD BIBEAU NORMAND BISSONNETTE MARIE BRASSARD ANNE-MARIE CADIEUX NORMAND DANEAU MARIE GIGNAC PATRICK GOYETTE ROBERT LEPAGE MACHA LIMONCHIK GHISLAINE VINCENT MUSIQUE ET CONCEPTION SONORE MICHEL F.