Porc Au Saté | Ida Tursic Et Wilfried Mille

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Connaissez-vous le saté? C'est un mélange d'épices asiatique au goût tout-à-fait particulier, très agréable, à la fois un peu piquant et légèrement sucré… Enfin, cela dépend des recettes, car comme tout mélanges d'épices, celui-ci est variable. Mais il y a une constante, qui donne son goût si particulier au saté: la présence de cacahuètes grillées moulues. Ce goût permet d'apporter à la fois du corps et de l'esprit aux plats de viande. À notre avis, il est trop présent pour un poisson. Il convient mieux à la viande, et plus particulièrement bien au poulet et au porc. Où trouver du saté? On trouve facilement du saté en poudre dans les magasins de produits asiatiques. >> Voyez notre article sur le saté Le saté (on a ajouté les piments pour faire joli…) Il est aussi possible de faire un saté maison à partir de cacahuètes grillées, de graines de sésame, de paprika et autres épices, vous en trouverez une recette sur l'excellent blog La Cuisine de Bernard. La recette Notre recette de porc au saté est faite à partir d'épices en poudre.

Porc Au Sate Recette Chinoise

Remuez et laissez mariner le temps de préparer la suite. Pelez les légumes. Coupez la deuxième gousse d'ail en tranches fines, faites-la revenir dans un peu d'huile, jusqu'à coloration: cela parfumera l'ensemble de la recette. Ciselez un oignon, ajoutez-le dans la poêle, faites revenir. Ajoutez les légumes progressivement, selon leur temps de cuisson (carotte et patate douce d'abord, chou-fleur et brocoli ensuite, courgette en dernier). Mettez un peu d'huile dans une autre poêle. Faites revenir la viande à feu vif. Ajoutez la viande aux légumes, ajoutez le reste du saté. Mouillez d'un peu d'eau (15 cl environ, ajustez si nécessaire). Laissez mijoter 15 minutes. Avant de servir, ajoutez le deuxième oignon coupé en tranches fines, remuez et laissez cuire 2 minutes à peine. Servez avec un riz blanc.

Porc Au Saté Et Lait De Coco

Les enfants adoraient le travers de porc avec de la sauce au soja et du miel. Adultes, ils aiment toujours, mais j'ai amélioré avec du saté épicé, un assemblage, un peu pimenté, d'épices avec de la poudre de cacahuètes. On l'achète très facilement dans les épiceries asiatiques. Rien de plus simple, mais il ne vous en restera pas… Allongez les travers de porc dans un plat à four. Arrosez-les sauce au soja et saupoudrez-les poudre de saté. Retournez une fois ou deux et protégez la viande, dans sa marinade, sous un film. Placez au réfrigérateur le matin pour le soir ou la veille au soir. Retirez le film et placez le plat avec la viande dans le four. Allumez-le à 180° (thermostat 6). Laissez cuire 30 minutes. Retournez la viande, arrosez-la de miel et poursuivez la cuisson environ 20 minutes. Mettez le four en position grill, mettez pas le plat dans le bas du four et terminez la cuisson ainsi pendant 5 minutes au maximum. Servez avec du riz pilaf saupoudré de cacahuètes hachées.

Couper les filets de porc en deux sur la largeur. Sur la longueur, faire des tranches de 1/2 cm (1/4 po) d'épaisseur dans chaque morceau. Une fois découpées, les lanières auront une largeur d'environ 4 cm (1 1/2 po). Ajouter le porc dans la marinade et bien l'enrober. Couvrir et réfrigérer de 1 à 4 heures. Enfiler le porc en serpentin sur les brochettes. Réserver. Au mélangeur, réduire tous les ingrédients en une sauce lisse et homogène. Réserver. Préchauffer le barbecue à puissance élevée. Huiler la grille. Griller les brochettes de 2 à 3 minutes de chaque côté ou jusqu'à cuisson rosée. Au service, parsemer d'arachides et de coriandre fraîche. Accompagner de la sauce aux arachides. Note Pour rehausser la saveur des arachides et de toutes les noix, il suffit de les faire griller dans une poêle à feu moyen-doux ou au micro-ondes quelques minutes en remuant de temps à autre jusqu'à ce qu'elles soient dorées et dégagent leur arôme.

Tous les genres aussi: portraits, paysages, abstractions, formes géométriques, expériences optiques. Leurs toiles convoquent l'histoire de la peinture, mais discrètement, tout le passé de la peinture sous toutes ses formes, et l'amènent dans notre présent, celui d'Internet où Ida Tursic et Wilfried Mille font leur marché d'images, celui du cinéma, de la pub, des journaux de mode, des starlettes, de la célébrité triste de seconde zone.

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Le nu féminin par Ida Tursic & Wilfried Mille (sérigraphie signée tirée à 250 exemplaires). Tursic & Mille, qui se sont aussi appelés Ida et Wilfried, font partie des couples mythiques de l'histoire de l'art, comme Sonia et Robert Delaunay, Frida Kahlo et Diego Rivera, Dalí et Gala, ou plus proches de nous, Christo et Jeanne-Claude ainsi que Gilbert et George. Et s'il s'agissait de faire un rapprochement, on pourrait penser à Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely. Non pour les sujets traités, mais par leurs propositions simples et hardies, par le fracas des couleurs, où l'on sent une liberté totale. Aucun tabou. Pour la collection « Naked », puisqu'il s'agit d'un couple, ils ont réalisé deux estampes. Il y a le nu masculin et le nu féminin. Il y a les trois canards et le canard unique – qui a fait quoi? Dans ce brillant quatre mains, on ne le saura jamais. Impression pigmentaire sur Hahnemühle Museum Etching 350 g, numérotée, datée et signée. La collection Naked réunit des estampes représentant des nus.

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Orchestrée par Timothée Chaillou Jeudi 18 décembre 2014 - 20h The Dandelions, 2012 Ida Tursic & Wilfried Mille, Courtesy of the artist / Almine Rech Gallery LE BAL est heureux d'accueillir les peintres Ida Tursic et Wilfried Mille pour présenter leur œuvre en résonnance avec le travail de Dirk Braeckman. Cette soirée sera orchestrée par Timothée Chaillou. « Nous aimons qu'une œuvre soit polysémique, comme une proposition à tiroir. Le corps ne nous intéresse pas plus que cela, il fait partie de cette longue tradition qu'est le nu dans la peinture. Lorsque l'on regarde Suzanne et les vieillards du Tintoret, Les Ménines de Vélasquez, La Vénus d'Urbin de Titien, Agbatana II de Frank Stella, c'est une stratégie du regard qui est mise en scène plutôt qu'un corps – qui n'est autre que celui de la peinture. » Puisant dans un répertoire iconographique vaste, de l'histoire de l'art aux pages des magazines, du cinéma aux banques d'images sur internet, le travail du duo d'artistes Ida Tursic et Wilfried Mille renouvelle la question du sujet entre figure/fond et surface/profondeur.

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Ces images évoquent des poses mais aussi des genres traditionnels de la peinture: les images pornographiques, utilisées à leurs début, offraient une perspective contemporaine sur le nu, les fleurs et les incendies sur le paysage. Très vite de toutes façons il apparaît que ces images sont peu de choses sinon des prétextes (pour le coup, très littéralement, ce qui vient avant le texte), et que le sujet n'est pas l'image mais la peinture. « Comment est-ce qu'une image peinte peut parler d'autre chose que d'elle même? » dirent-ils au Collège de France. Dans certaines œuvres plus anciennes d'Ida Tursic et Wilfried Mille, ces images étaient imprimée sur toile à l'aide d'une encre thermique, mais pour toutes celles de cette exposition l'image est peinte, comme si leur processus de transformation en peinture commençait dès leur inscription sur la toile. C'est qu'il s'agit d'un affrontement: celui de la peinture et des images contemporaines, et dans l'épreuve chacun fourbit ses armes. Parfois l'image sa défend bien, parfois elle succombe: dans Watch4Beauty (le titre renvoie au site érotique online auquel elle fut empruntée), la peinture semble avoir triomphé de l'image peinte – celle d'une pin up – la recouvrant quasi totalement, fabriquant sa composition propre.

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Ils peignent leur réalité contemporaine. Ida Tursic et Wilfried Mille ont fait l'objet de plusieurs expositions monographiques à la galerie Pietro Sparta à Chagny et à la galerie Charlotte Moser à Genève. Ils ont pris part à des expositions collectives telles que La Force de L'Art à Paris en 2005 ou The Freak Show au Musée d'art contemporain de Lyon (2007, reprise l'année suivante au Musée de la Monnaie de Paris). Ils ont remporté le 11è Prix Fondation d'entreprise Ricard en 2009. Le duo collabore également à Wallpapers by Artists, un projet né de la volonté de proposer une collection originale de papier peint haut de gamme réalisé par des artistes de la scène contemporaine. Plus d'info: site d'Ida Tursic et Wilfried Mille

» On peut faire dire ce qu'on veut à ces photos: on pourrait ainsi disserter sur le hasard de la vie qui a amené ces deux trajectoires à se croiser aux beaux-arts de Dijon, elle travaillant sur des clichés de mode, lui à partir d'images pornographiques, et à fusionner en 2000 leurs activités, à faire couple dans la vie et dans l'oeuvre. Mais on pourrait aussi y voir les deux grands symptômes psycho-biographiques de leur peinture: le sourire et la réticence. Car il y a de fait chez eux une sorte de bienveillance presque générationnelle à l'égard des images qu'ils choisissent et retraitent, une façon de les accepter toutes sans hiérarchisation, qu'elles viennent de l'internet, du cinéma d'Antonioni ou de vulgaires sites pornos. Portées sur la toile avec virtuosité, il s'agit même de les faire jouir, de faire exploser leurs couleurs, de les pousser à leur plus haut degré d'intensité, voire d'incandescence, à l'image des maisons ou des paysages en feu qu'ils peignent régulièrement. Mais à l'opposé, il y a également chez eux une réticence, un doute critique face à l'image: pur fake, leurre, simple signe sans autre réalité derrière.

Sous cet angle désabusé, les filles nues couvertes de sperme, les paysages, les feux et les motifs abstraits ne sont plus des objets de jouissance mais de simples natures mortes, des vanités. A l'image de la toile emblématique que ces deux lauréats du dernier prix Ricard vont faire entrer dans la collection du Mnam au Centre Pompidou, intitulée The Back of the Sign: on y aperçoit, vues de dos, les premières lettres du fameux « Hollywood » perché sur une colline de Los Angeles. Recouverte d'une couche d'argent, comme d'une brume inquiétante, la toile évoque les désillusions de la grande machine hollywoodienne. L'envers du décor. J'aime les oeuvres d'art quand elles sont ambivalentes et se tiennent dans une tension non résolue. Non pas qu'elles disent tout et son contraire, mais qu'elles s'efforcent de contenir ensemble, comme ici, les deux pôles irréconciliables d'un certain rapport à l'image. Dans leur atelier de Dijon, situé dans une ancienne caserne désaffectée, les huit toiles qui composeront leur prochaine exposition à la galerie Almine Rech sont toutes sur les murs, achevées depuis peu, en train de sécher.