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Sellou Marocain Bienfait

Commentaire de texte: Vieille chanson du jeune temps, V. Hugo. Recherche parmi 272 000+ dissertations Par • 14 Février 2017 • Commentaire de texte • 1 511 Mots (7 Pages) • 5 520 Vues Page 1 sur 7 « Vieille chanson du jeune temps » Victor Hugo, les Contemplations 1853 Victor Hugo, Poète, romancier et dramaturge du XIXe est sans conteste l'un des plus grand de la littérature Française. Hugo est chef du romantisme. Vieille chanson du jeune temps est extrait du recueil Les Contemplations, receuil de poèmes organisés en 2 parties: autrefois et aujourd'hui notre poème fait partis d'autrefois ( la jeunesse de Hugo). Publié en 1856, alors que Hugo est de retour de son exile le poème « vieille chanson du jeune temps » raconte la maladresse d'Hugo avec une jeune femme. Ce poème se compose de 9 quatrains en rimes croisées. Cette structure s'écarte des formes classiques et permet de développer un propos d'appartenance plus narratif. De plus l'on peut remarquer qu'Hugo emploie les temps traditionnellement employés dans le récit, c'est-à-dire imparfait « je ne songeais » et passé simple « Rose vint ».

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Le narrateur était visiblement très amoureux de sa compagne Nusch, il n'a plus faim ou soif la faim et la soif à mon corps épuisé la mort visible boit et mange à mes dépens tellement amoureux que sont poème devient un poème élégiaque, un chant funèbre. La mort est omniprésente dans ce poème: répétition de la mort morte Le texte d'Hugo, Vieille chanson du jeune temps, raconte une histoire d'amour raté de la jeunesse de l'auteur. Hugo est mélancolique, nostalgique en repensant à ce moment, à ce qu'il a raté: il y pense toujours L'utilisation de l'imparfait accentue cette mélancolie. L'image d'amour que ce texte véhicule est plutôt positive, joyeuse, Hugo se moque de la naïveté de sa jeunesse. ]

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Le terme morose est à la rime, accentuant ainsi cette caractéristique. Au vers 5 Hugo utilise la comparaison peu flatteuse, « comme les marbres » qui montre son absence d'émotions avec un emploi au pluriel qui renforce l'idée. C- Une attitude distraite Avec l'emploi du mot « distrait » vers 6 l'adjectif qualifie ses pas mais par extension lui-même. L'emploie de mots imprécis, peu poétique vers 3 comme « de quelque chose » à quoi fait écho « plus de quoi ». Ces deux exemples montrent une conversation qui a peu d'intérêt, on aurait pu imaginer qu'à ce moment cette inattention est due à la fascination du jeune homme pour la jeune fille. Le discours semble stéréotypé « je parlais des fleurs, des arbres », ici le stéréotype des fleurs mais il y a l'étrange présence des arbres. Mais en faite, l'impuissance marquée par la négation « je ne savais que lui dire », montre ici l'inexpérience d'Hugo qui ne sait pas comment séduire une fille. La multiplication des négations dans le poème montre l'inexpérience du garçon avec au vers 1 « je ne songeais pas » puis vers 29 « je ne savais que lui dire ».

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L'expression des sentiments personnel constitue le registre lyrique (lyrisme: > lyre (instrument utilisé par Orphée, le + célèbre des poètes de la mythologie grecque), s'applique à l'expression des sentiments personnels, des émotions (l'amour, la nostalgie, le regret, la douleur, le chagrin, la joie, l'enthousiasme, l'admiration... ). Le poète évoque des thèmes lyriques: la vie, l'amour, la mort, le temps qui passe, la nature. Il utilise un registre lyrique: lexique de l'affectivité, métaphores et comparaisons, expression des émotions à travers la ponctuation forte. Le lyrisme, c'est l'expression du Moi associé à la musicalité (rythme, sonorités) Emotion réelle ou feinte? ( stratégie du poète: donner à Cassandre => III. UNE LECON DE VIE: Comment? En quoi? 1) Le maître et l'élève 2) Faire prendre conscience de la fuite du temps 3) Faire ré...

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14: hypallage (figure de style qui consiste à attribuer à un mot de la phrase ce qui correspond à un autre: « fleuronne « correspond à une fleur, non à une femme) ( métaphore qui assimile la femme à la fleur - pléonasme: « verte « évoque le printemps, la jeunesse + « nouveauté «= jeunesse, accentué par l'insistance du superlatif: « sa plus « Compliments, galanterie, renforcés par GN final: « votre beauté «, mais stratégie du poète. 3) L'émotion exprimée par le poète: - tristesse et amertume à propos de la fugacité du temps, exprimée par l'interjection: « las! «v7et le ton exclamatif de la phrase - réaction de vive déception devant le spectacle qu'offre la rose, mis en valeur par la structure désarticulée de la phrase sur 3 vers (7, 8, 9) qui rejette à la fin la vision de la fleur fanée (« ses beautés laissé choir «). - émotion nettement marquée par la présence d'une allitération en [s] qui crée un effet d'insistance - indignation vis-à-vis de la nature personnifiée (Nature), à travers l'apostrophe rendue véhémente par le ô vocatif, à travers la connotation négative de « marâtre «, à valeur d'oxymore par rapport à la nature qui symbolise la mère nourricière à travers l'insistance évoquée par l'adverbe « vraiment « à travers les allitérations en [r] (liquide) et en dentales [t] et [d] ( brutalité.

> Hugo « Mélancholia », extrait ( Les Contemplations, III): exercice de lecture analytique Document envoyé le 22-08-2007 par Bernard Théry L'extrait est celui qui dénonce le travail des enfants: "Ou vont tous ces enfants, dont pas un seul ne rit?... " L'exercice qui constitue un sujet de devoir en 2h conçu pour des secondes, présente un questionnaire progressif portant sur les premières réactions du lecteur au texte, l'observation du lexique, des structures grammaticales, des particularités musicales ou prosodiques; le travail de lecture analytique est guidé pour mener l'élève de l'observation à l'interprétation qu'il formule en conclusion.